dimanche 20 octobre 2013

Projet Chloé 2 – phrase 15

No es demasiado tarde, de todas formas, si algún día la tortura termina, si vuelve a ser sola, si la libertad es, en verdad, como el primer día de primavera que viola suavemente la ventana mientras ella mira hipnotizada el espectáculo protegida por el vidrio, sobrecogida por la fuerza del sol, incapaz de felicidad a fuerza de olvido.

Traduction temporaire :
De toute façon, il n'est pas trop tard si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

19 commentaires:

Chloé a dit…

Ce n'est pas trop tard, de toute façon, si la torture venait à prendre fin un jour, si elle se retrouvait à nouveau seule, si la liberté était, en vérité, semblable au premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde, hypnotisée, le spectacle à l'abri, derrière le carreau, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Tradabordo a dit…

Ce [pourquoi pas simplement « Il » ?] n'est pas trop tard, de toute façon [à ton avis, ça va avec ce qui précède ou ce qui suit ? Je te dis ça à cause de la ponctuation…], si la torture venait à prendre fin [ou simplement : « s'arrêtait » ? Comme tu veux…] un jour, si elle se retrouvait à [« de » ?] nouveau seule, si la liberté était, en vérité [syntaxe ?], semblable au [un peu ambigu avec ce changement…] premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde, hypnotisée, le spectacle [virgule] à l'abri, [suppression de cette virgule ? Essaie et vois ce que ça donne…] derrière le carreau [ou « vitre » ?], ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Chloé a dit…

Il n'est pas trop tard de toute façon, si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté, en vérité, était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde, hypnotisée, le spectacle, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Tradabordo a dit…

Il n'est pas trop tard de toute façon, [point-virgule ?] si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté, en vérité [bizarre ce « en vérité » isolé comme ça, non ?], était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde, hypnotisée, le spectacle [si tu collais au sujet, ça permettrait de limiter cette virgulite, non ? ;-)], à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Chloé a dit…

Il n'est pas trop tard de toute façon ; si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si en vérité, la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Je pensais que vous aviez inventé le mot "virgulite", en fait il existe réellement... ;-)

Chloé a dit…

Je vous remets un commentaire, sans vouloir insister, car je crois que vous avez oublié le vôtre...

Tradabordo a dit…

Ne t'excuse pas, c'est moi… Il y a une telle masse de commentaires, que certains passent à travers les mailles du filet. Je te dis : si tu vois que ça bouge chez les autres et pas chez toi, relance-moi tout de suite.

Ah bon, « virgulite » existe ?????? ;-)))))))

Il n'est pas trop tard de toute façon ; si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si en vérité [je trouve ça un peu artificiel ; est-ce qu'on ne devrait pas carrément supprimer ?], la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Au fait, c'est bizarre ces « si » qui n'aboutissent pas à la fin de la phrase, non ?

Chloé a dit…

OK...Oui, ça doit être dur à gérer tout ça !

Pour la "virgulite", certains littéraires la définissent comme la maladie de la virgule. On devrait la mettre dans la dico ! ;-)

Il n'est pas trop tard de toute façon ; si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si [OK pour la suppression] la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

En effet, ces "si" sont bizarres, j'avais pensé à mettre du conditionnel, ce qui donnerait : "la torture s'arrêterait-elle un jour ? etc..."

Tradabordo a dit…

Il n'est pas trop tard de toute façon ; si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Mais qu'est-ce qui vient après… – pour expliquer ces « si » ?

Chloé a dit…

Il n'est pas trop tard de toute façon ; si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Pour expliquer les "si", on doit expliciter : "incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.", ce qui donnerait "elle serait incapable d'être heureuse à cause de l'oubli." ?

Tradabordo a dit…

Je ne comprends pas votre question… Moi, ce que je voulais savoir, c'est si dans la phrase suivante, nous avions des éléments d'explication… nous permettant de traduire un peu différemment.

Chloé a dit…

Ah d'accord ! La phrase d'après est "La única manera de seguir.", mais je ne sais pas si ça peut expliquer les "si"...

Il n'est pas trop tard de toute façon ; si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Tradabordo a dit…

Il n'est pas trop tard de toute façon ; [je crois que l'erreur est vient du fait que je t'ai fait ajouter ce point-virgule… enlève + mets « de toute façon » devant et je crois que ce sera plus clair…] si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Chloé a dit…

De toute façon, il n'est pas trop tard : si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Tradabordo a dit…

De toute façon, il n'est pas trop tard : [non, virgule… l'idée, c'est qu'il n'est pas trop tard si…………, non ?] si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Chloé a dit…

De toute façon, il n'est pas trop tard, si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Tradabordo a dit…

De toute façon, il n'est pas trop tard, [du coup, j'hésite : est-ce qu'on laisse la virgule, ou pas ?] si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Chloé a dit…

Je pense que ce serait mieux d'enlever la virgule de façon à ce qu'il n' y ait pas d'ambiguïté dans la phrase...

De toute façon, il n'est pas trop tard si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

Tradabordo a dit…

De toute façon, il n'est pas trop tard si la torture s'arrêtait un jour, si elle se retrouvait de nouveau seule, si la liberté était comme le premier jour de printemps qui viole doucement la fenêtre pendant qu'elle regarde le spectacle, hypnotisée, à l'abri derrière la vitre, ébahie par la force solaire, incapable d'être heureuse à cause de l'oubli.

OK.