vendredi 4 octobre 2013

Projet Marie-G – phrase 3

El señor Benavides tenía sesenta años de edad; Joaquín lo veía como a un personaje tétrico que iba siempre vestido de negro, como para asistir a un funeral interminable, invisiblemente distribuido en todos los actos de la vida.

Traduction temporaire :
Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, comme pour assister à des funérailles interminables, invisiblement disséminées dans chaque acte de la vie quotidienne.

32 commentaires:

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le trouvait sinistre. Toujours habillé en noir comme pour se rendre à un enterrement interminable, il était présent de façon imperceptible dans les moindres faits et gestes de sa vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le trouvait sinistre [pourquoi tu changes ? Je sens que nous allons avoir à régler les problèmes liés à la maladie du changement ;-) DONC : tu restes près de la V.O., a fortiori pour un premier jet. C'est ensemble et progressivement que nous décidons des changements nécessaires ou utiles / REPRENDS]. Toujours habillé en noir comme pour se rendre à un enterrement interminable, il était présent de façon imperceptible dans les moindres faits et gestes de sa vie quotidienne.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme quelqu'un de sinistre qui était toujours habillé en noir, comme pour se rendre à un enterrement interminable, présent de façon imperceptible dans les moindres faits et gestes de sa vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme quelqu'un [reviens à la V.O.] de sinistre qui était toujours habillé en noir, comme pour se rendre à un enterrement interminable, présent de façon imperceptible dans les moindres faits et gestes de sa vie quotidienne.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait tel un personnage sinistre qui était toujours habillé en noir, comme pour se rendre à un enterrement interminable, présent de façon imperceptible dans les moindres faits et gestes de sa vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait tel [incorrect ici] un personnage sinistre qui était [là, ça, tu peux supprimer] toujours habillé en noir, comme [c'est sans doute celui-ci qu'il faut changer] pour se rendre à un enterrement interminable, présent de façon imperceptible dans les moindres faits et gestes de sa vie quotidienne [et tu reviens à la V.O. pour la fin].

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, comme pour se rendre à des funérailles interminables, présent de façon imperceptible pour tous les événements de sa vie.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, comme [cf mon commentaire précédent… où je te disais qu'il fallait régler cette question de la répétition des « comme »] pour se rendre à des funérailles interminables, présent de façon imperceptible pour tous les événements de sa vie.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, à la manière de ceux qui se rendent à des funérailles interminables, imperceptiblement présent
dans tous les événements de sa vie.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, à la manière de [« tels ces gens qui » ?] ceux qui se rendent à des funérailles interminables, imperceptiblement présent dans tous les événements de sa vie [sûre de l'interprétation de la fin ? Comment le comprends-tu ? ].

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, [je comprends dans cette phrase qu'il est là sans l'être vraiment et ce dans tout ce qu'il fait, qu'il est terne, triste, sans vie, absent... ou est-ce qu'il est là façon incognito? pour surveiller? être toujours celui qui contrôle et serait donc en retrait dans un but "tactique"? ].

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, [je comprends dans cette phrase qu'il est là sans l'être vraiment et ce dans tout ce qu'il fait, qu'il est terne, triste, sans vie, absent... OK POUR ÇA / METS-LE EN FORME CLAIREMENT MAINTENANT ; IL FAUT QUE CE SOIT ACCESSIBLE SANS DIFFICULTÉ POUR TON LECTEUR ou est-ce qu'il est là façon incognito? pour surveiller? être toujours celui qui contrôle et serait donc en retrait dans un but "tactique"? ].

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables,inexistant dans les moindres faits et gestes de sa vie.

Tradabordo a dit…

Rétablis tes espaces.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, inexistant dans les moindres faits et gestes de sa vie.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín le considérait comme [« voyait en lui » ?] un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, inexistant [essaie quand même d'être plus près de la V.O.] dans les moindres faits et gestes de sa [en mettant le possessif, est-ce que tu n'invalides pas ton interprétation de la fin ?] vie.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, éternel absent du quotidien.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, éternel absent du quotidien [pourquoi tu changes complètement… alors qu'on avançait lentement vers la solution ???????].

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, invisible/distant dans les moindres faits et gestes de la vie.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, invisible/distant [à toi de trancher… + que fais-tu de « distribuido » ?] dans les moindres faits et gestes de la vie.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, invisible/distant [à toi de trancher… + que fais-tu de « distribuido » ?] dans les moindres faits et gestes de la vie.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, invisible/distant [à toi de trancher… + que fais-tu de « distribuido » ?] dans les moindres faits et gestes de la vie.

Michael Barbero a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, distant et dissipé dans les moindres faits et gestes de la vie.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, tels ces gens qui se rendent à des funérailles interminables, distant et dissipé dans les moindres faits et gestes de la vie.

Elena a dit…

Bonjour Marie,
Je me permets d'intervenir pour vous faire une petite proposition, à vous de l'adapter (adopter ?) :

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, prêt à assister à de perpétuelles funérailles invisiblement étalées dans chaque acte de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Marie,

Je t'ai envoyé Elena pour un peu d'aide ;-) [je suis restée presque toute la journée sans modem] N'hésite pas relancer si tu n'as pas encore la solution. Elena est toujours à l'écoute des pauvres brebis égarées sur le sentier de la traduction ;-)

Michael,
Merci de votre intervention ; juste pour info : ce texte est travaillé par Marie… et nous allons patiemment le lui laisser ;-) Ce qui ne vous empêche pas, si vous voulez participer à nos activités, de me contacter, de vous présenter et de voir avec moi comment nous pouvons vous intégrer à notre groupe.

Caroline Lepage

Maria a dit…

Merci de notre aide Elena, pour moi le sujet de "invisiblemente distribuido" était forcément M.Benavides, la locution précédente étant entre deux virgules mais si le sujet est "funeral interminable", cela change tout...
Pour info, Michaël Barbero et moi sommes "la même personne", dans les commentaires de cette page pour le moins. Il s'agit de mon mari qui a un compte gmail qu'il n'avait pas déconnecté et je n'avais pas vérifié avant de publier mon commentaire, désolée ;-)

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, prêt à se rendre à des funérailles interminables invisiblement disséminées dans chaque acte de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, prêt à se rendre à des funérailles interminables [virgule ?] invisiblement disséminées dans chaque acte de la vie quotidienne.

Maria a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, prêt à se rendre à des funérailles interminables, invisiblement disséminées dans chaque acte de la vie quotidienne.

Tradabordo a dit…

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, prêt à se rendre à des funérailles interminables, invisiblement disséminées dans chaque acte de la vie quotidienne.

Je te propose :

Monsieur Benavides avait une soixantaine d'années ; Joaquín voyait en lui un personnage sinistre, toujours vêtu de noir, comme pour assister à des funérailles interminables, invisiblement disséminées dans chaque acte de la vie quotidienne.

OK ?

Maria a dit…

Ok!