mardi 8 octobre 2013

Projet Sarah – phrase 8

Alejandro afirmaba, ante sus compañeros de trabajo porque no tenía amigos con quienes conversar, era un lobo solitario cazando en la ciudad, que el calor era necesario para los hombres, pues era la estación que propiciaba que las muchachas se vistieran como si fueran aves de vistosos colores y, bastaba un viento ligero, para que sus alas se levanten y dejen, al vuelo, ver lo que está reservado para los elegidos; pero no para los agradecidos transeúntes, que por un instante, ante tan maravillosa y sensual visión, lograban olvidar sus problemas.

Traduction temporaire :
N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. Son argument était qu'elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et qu'il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

28 commentaires:

Unknown a dit…

Comme il n’avait pas d’amis à qui parler, c’était un loup solitaire qui chassait dans la ville, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était essentielle aux hommes car cette saison incitait les filles à s’habiller tels des oiseaux aux couleurs éclatantes. Il suffisait alors d’une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé à l’heureux élu ; et non aux passants reconnaissants qui, l’espace d’un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Tradabordo a dit…

Comme il n’avait pas d’amis à qui parler, c’était un loup solitaire qui chassait dans la ville, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était essentielle aux hommes car cette saison incitait les filles à s’habiller tels des oiseaux aux couleurs éclatantes. Il suffisait alors d’une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé à l’heureux élu ; et non aux passants reconnaissants qui, l’espace d’un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Tu as déjà opéré des changements importants ; comme indiqué, pour un premier jet, il faut que tu restes près de la V.O. ; c'est ensuite, ensemble, que nous regardons dans quelle mesure et quoi nous pouvons / voulons changer.

Unknown a dit…

Alejandro affirmait, devant ses collègues parce qu'il n'avait pas d'amis à qui parler, c'était un loup solitaire qui chassait dans la ville, que la chaleur était nécessaire aux hommes, car c'était la saison qui incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et, il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent, au passage, entrevoir ce qui est réservé à l'heureux élu; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Unknown a dit…

Alejandro affirmait, devant ses collègues parce qu'il n'avait pas d'amis à qui parler, c'était un loup solitaire qui chassait dans la ville, que la chaleur était nécessaire aux hommes, car c'était la saison qui incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et, il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent, au passage, entrevoir ce qui est réservé à l'heureux élu; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Unknown a dit…

Mon commentaire s'est affiché deux fois mais je n'ai pas de réponse, c'est normal?

Tradabordo a dit…

Petit bug…

Alejandro affirmait, devant ses collègues parce qu'[ou avec « vu qu' » ou « n'ayant » ? Regarde les deux solutions…] il n'avait pas d'amis à qui parler [pas un verbe plus adapté ici ?], c'était un loup solitaire qui chassait dans la ville [OK, ça, vois comment tu peux l'aménager autrement…],


que la chaleur était nécessaire aux hommes, car c'était la saison qui incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et, il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent, au passage, entrevoir ce qui est réservé à l'heureux élu; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis à qui se confier, c'était un loup solitaire qui chassait dans la ville, Alejandro affirmait, devant ses collègues,

que la chaleur était nécessaire aux hommes, car c'était la saison qui incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et, il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent, au passage, entrevoir ce qui est réservé à l'heureux élu; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis à [« à » ne va pas…] qui se confier, c'était un loup solitaire qui chassait dans la ville [un moyen de mieux relier ce morceau avec celui qui précède ?], Alejandro affirmait, [supprime cette virgule] devant ses collègues,

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis auxquels se confier vu que c'était un loup solitaire qui chassait dans la ville, Alejandro affirmait devant ses collègues

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis auxquels se confier [virgule ?] vu que c'était [ou simplement : « qu'il » ?] un loup solitaire qui chassait dans la ville [ou on change : 7 dont la ville était le terrain de chasse » ?], Alejandro affirmait devant ses collègues

sinon, OK pour la syntaxe… Ça me semble le mieux.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis auxquels se confier, vu qu' il était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse, Alejandro affirmait devant ses collègues

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis auxquels se confier, vu qu' il était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse, Alejandro affirmait devant ses collègues

Qu'en penses-tu, toi ?

Unknown a dit…

Je trouve que la phrase est lourde("vu qu'il était..."), je le mettrais en incise:

N'ayant pas d'amis auxquels se confier [je trouve que se confier est trop fort par rapport à "conversar", d'où ma version initiale "à qui parler" ou "avec qui bavarder"] -c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse-, Alejandro affirmait devant ses collègues

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder -[espace]c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse[espace]-, Alejandro affirmait devant ses collègues

OK… tu colleras la suite après ces petites modifs de typo.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car c'était la saison qui incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et, il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent, au passage, entrevoir ce qui est réservé à l'heureux élu; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle, en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car c'était la saison [bizarre, non ?] qui incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et, [virgule nécessaire ?] il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et laissent, au passage [ou juste après « et » ?], entrevoir ce qui est réservé à l'heureux élu[au pluriel en V.O. ?] [espace avant les points-virgules]; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle [à placer après dans la phrase… essaie de dis-moi ce que ça donne…], en arrivaient à oublier leurs problèmes.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car cette saison incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et, au passage, laissent entrevoir ce qui est réservé aux heureux élus ; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en arrivaient à oublier leurs problèmes devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle.

[j'hésite avec "car en cette saison, les filles avaient tendance à s'habiller..."]

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car cette saison [mon pb, moi, c'est « chaleur » + « saison » ; en quoi chaleur = saison ?] incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et, au passage, laissent entrevoir ce qui est réservé aux heureux élus ; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en arrivaient à oublier leurs problèmes devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car celle-ci incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et, au passage, laissent entrevoir ce qui est réservé aux heureux élus ; et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en arrivaient à oublier leurs problèmes devant une vision aussi merveilleuse et sensuelle.

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car celle-ci [« elle » ?] incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs éclatantes [inexact ? J'hésite ; tu as fait exprès de ne pas traduire littéralement ?] et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient et, au passage, laissent [avec « laissant », tu pourrais supprimer tout cela, notamment ce énième « et » / essaie et vois si ça fonctionne…] entrevoir ce qui est [cheville – adverbe en « -ment » ? Essaie] réservé aux heureux élus ; [une simple virgule ?] et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en arrivaient à oublier leurs problèmes devant une vision [ou « spectacle » ? Celui que tu préfères…] aussi merveilleuse et sensuelle.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux hommes, car elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en arrivaient à oublier leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

[est-ce qu'on ne pourrait pas couper la phrase en deux comme je l'avais fait dans mon premier commentaire?: "comme des oiseaux aux couleurs vives.Il suffisait alors d'une légère brise..."]

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que la chaleur était nécessaire aux [ou par « avoir besoin » ? Essaie et vois ce qui est mieux…] hommes, car [le point, je crois que tu devrais le mettre ici, en supprimant évidemment le « car » ; essaie] elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en arrivaient à oublier [est-ce qu' « oubliaient » tout court ne suffit pas ?] leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. Elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. [cheville : « son argument était qu' » ? ]Elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. Son argument était qu'elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. Son argument était qu'elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et [cheville : « qu'»] il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

Unknown a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. Son argument était qu'elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et qu'il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

Tradabordo a dit…

N'ayant pas d'amis avec qui bavarder - c'était un loup solitaire dont la ville était le terrain de chasse -, Alejandro affirmait devant ses collègues que les hommes avaient besoin de la chaleur. Son argument était qu'elle incitait les filles à s'habiller comme des oiseaux aux couleurs vives et qu'il suffisait d'une légère brise pour que leurs ailes se déploient, laissant entrevoir au passage ce qui est habituellement réservé aux heureux élus, et non aux passants reconnaissants qui, l'espace d'un instant, en oubliaient leurs problèmes devant un spectacle aussi merveilleux et sensuel.

OK.