samedi 16 novembre 2013

Projet Justine 2 – phrase 20

Hasta que a la tercera noche devoraron las pepitas granate, muy lustrosas, del arbusto nudoso y quién dijo miedo: se alebrestaron.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

13 commentaires:

Justine a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où, sans peur, ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux : ils s’énervèrent.

Tradabordo a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où, sans peur, ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux : ils s’énervèrent.

Reste plus près de la V.O. Pour un premier jet, j'ai besoin de voir la phrase à la phase 1.

Justine a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, et sans avoir peur : ils s’énervèrent.

Tradabordo a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, et sans avoir peur : ils s’énervèrent [je ne pense pas que ce soit exactement le sens ici].

Justine a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, et sans avoir peur : ils s’agitèrent.

Unknown a dit…

Bonjour à toutes les deux, je ne sais pas pourquoi, mais plusieurs de mes commentaires n'ont pas fonctionné, donc je vous rejoins dès la prochaine phrase en espérant que ça fonctionne...

Tradabordo a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, et sans avoir peur [sûre de l'interprétation ? Le cas échéant, demande son avis à Elena] : ils s’agitèrent [pas tout à fait].

Unknown a dit…

J'avais trouvé que cette expression correspondait à « même pas peur », ou quelque chose de ce genre, mais colloquial et avec ce sens là. Je vous propose :

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, sans même avoir peur : ils s'excitèrent.

Peut-être que la fin n'est pas très claire... est-ce que ce serait trop de faire ça :

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, sans même avoir peur. Résultat : ils s'excitèrent.

Tradabordo a dit…

OK… sauf pour « s'excitèrent » – pas très adapté ici… ;-)

Unknown a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, sans même avoir peur. Résultat : leurs nerfs s'agitèrent.

Tradabordo a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, sans même avoir peur. Résultat : leurs nerfs s'agitèrent [quelque chose comme « s'échauffer » / « pris de frénésie » ?].

Justine a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, sans même avoir peur. Résultat : ils s'échauffèrent.

Tradabordo a dit…

Jusqu’à la troisième nuit, où ils dévorèrent les baies grenat, très brillantes, de l’arbuste noueux, sans même avoir peur. Résultat : ils s'échauffèrent.

OK.

Manon ?