samedi 16 novembre 2013

Projet Morgane 5 – phrases 8-9

Así, abandono cada mañana la sombra del hogar y me instalo aquí, en una banca de la plaza de armas, veo pasar el día y caminantes y palomas. Intercambio dulces y semillas por monedas, y espero el dolor, uno de los míos que ya regresa, o uno extraño, el nuevo, el definitivo, el que me abra la puerta que conduce al camino sin regreso.

Traduction temporaire :
Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Plaza de armas. Je regarde la journée passer, les promeneurs, et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, l'une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, nouvelle, définitive, celle qui m'ouvrira la porte qui mène au chemin sans retour.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Place d'armes. Je regarde passer la journée, et les gens qui marchent, et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, la douleur nouvelle, la définitive, celle qui m'ouvrirait la porte qui mène au chemin sans retour.

Tradabordo a dit…

Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Place d'armes [tu laisses en V.O., mais avec un P majuscule à plaza]. Je regarde passer la journée [syntaxe ?], et les gens qui marchent [pourquoi pas un substantif ?], et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, [«l' » ?] une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, la douleur [répétition nécessaire ?] nouvelle, la définitive, celle qui m'ouvrirait [conditionnel ?] la porte qui mène au chemin sans retour.

Unknown a dit…

Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Plaza de armas. Je regarde la journée passer, et les promeneurs, et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, l'une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, la nouvelle, la définitive, celle qui m'ouvrira la porte qui mène au chemin sans retour.

Unknown a dit…

Et de celui-ci? :-)

Tradabordo a dit…

Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Plaza de armas. Je regarde la journée passer, et [nécessaire ?] les promeneurs, [virgule ?] et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, l'une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, la [nécessaire ?] nouvelle, la définitive, celle qui m'ouvrira la porte qui mène au chemin sans retour.

Unknown a dit…

Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Plaza de armas. Je regarde la journée passer, les promeneurs, et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, l'une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, nouvelle, définitive, celle qui m'ouvrira la porte qui mène au chemin sans retour.

Tradabordo a dit…

Ainsi, j'abandonne chaque matin l'ombre de mon foyer et je m'installe ici, sur un banc de la Plaza de armas. Je regarde la journée passer, les promeneurs, et les pigeons. J'échange des bonbons et des graines contre de l'argent, et j'attends la douleur, l'une des miennes, qui reviendrait, ou une étrangère, nouvelle, définitive, celle qui m'ouvrira la porte qui mène au chemin sans retour.

OK.