samedi 16 novembre 2013

Projet Morgane – phrase 75

"...Las gentes cruzan el mundo en la actualidad
sin apenas recordar que poseen un cuerpo y en él la vida,
y hay miedo,hay miedo en el mundo de las palabras que de-
signan el cuerpo,
y se habla favorablemente de la ropa,
de pantalones es posible hablar, de trajes,
y de ropa interior de mujer (de medias y ligas de "señora"),
como si por las calles fueran las prendas y los trajes vacíos
por completo
y un oscuro y obsceno guardarropas ocupara el mundo.

Tienen existencia los trajes, color, forma, designio,

y profundo lugar en nuestros mitos, demasiado lugar..."

Traduction temporaire :

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps ; et on parle positivement des vêtements, il est possible de parler pantalons, costumes, et sous-vêtements de femmes (de bas et de jarretières pour « dames »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement vides, ainsi qu'une obscure et obscène garde-robe, qui occupaient le monde. Les robes ont une existence, une couleur, une forme, un dessein, et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

14 commentaires:

Unknown a dit…


«…À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans tout juste se souvenir qu’ils possèdent un corps et en ce corps, la vie, et on ressent la peur, on ressent la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Tradabordo a dit…

« [espace]… À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans tout juste [plus fluide + sans « tout »] se souvenir [recordar = se rappeler… ] qu’ils possèdent un corps et en ce corps, la vie [petit morceau à reprendre… vers plus de naturel], [ponctuation ?]


et on ressent la peur, on ressent la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Unknown a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et que, dans ce corps, il y a la vie. Et on ressent la peur, on ressent la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Unknown a dit…

Êtes-vous passée à côté de ce commentaire ?

Tradabordo a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et que, dans ce corps, il y a la vie [rapproche-toi de la V.O. ; je crois que c'est important]. Et on ressent la peur, on ressent la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Unknown a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et on ressent la peur, on ressent la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Tradabordo a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et on [littéral ?] ressent la peur, on ressent la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Unknown a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de « dame »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde.
Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Unknown a dit…

Oh! J'avais oublié qu'on avait ce projet en cours aussi !

Tradabordo a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps, [point-virgule ? J'hésite] et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières de [« pour »] « dame » [au pluriel en français ?]), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement superficiels [pas ce que dit la V.O.], et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde. Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein [sûre ?],
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Et je vois aussi un projet 6… qui n'est pas terminé. Confirme-moi qu'on est dessus.

Unknown a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps ; et on parle de façon positive des vêtements, il est possible de parler de pantalons, de costumes, et des sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières pour « dames »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement vides, et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde. Les robes ont une vie, une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Tradabordo a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps ; et on parle de façon positive [sans doute serait-ce plus naturel en étant littéral ; je sais que c'est pour éviter l'adverbe en -ment…, mais bon…] des vêtements, il est possible de parler de [nécessaire ?] pantalons, de [idem] costumes, et des [idem ?] sous-vêtements des femmes (de bas et de jarretières pour « dames »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement vides, [supprime ou « ainsi que »] et une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde. Les robes ont une vie [tu l'as déjà dans la première phrase ; or en V.O., il n'y a pas la répétition], une couleur, une forme, un dessein,
Et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Unknown a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps ; et on parle positivement des vêtements, il est possible de parler pantalons, costumes, et sous-vêtements de femmes (de bas et de jarretières pour « dames »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement vides, ainsi qu'une obscure et obscène garde-robe qui occupaient le monde. Les robes ont une existence, une couleur, une forme, un dessein, et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

Tradabordo a dit…

« … À l’heure actuelle, les gens traversent le monde sans vraiment se rappeler qu’ils possèdent un corps et en lui, la vie. Et il y a de la peur, il y a de la peur dans ce monde des mots qui dé-signent le corps ; et on parle positivement des vêtements, il est possible de parler pantalons, costumes, et sous-vêtements de femmes (de bas et de jarretières pour « dames »), comme si, dans les rues, c’était les vêtements et les costumes totalement vides, ainsi qu'une obscure et obscène garde-robe, qui occupaient le monde. Les robes ont une existence, une couleur, une forme, un dessein, et sont bien ancrées dans nos mythes, trop ancrées… »

OK.