No era feo, era verde, como un trozo de árbol viejo, olía como un árbol, quizás hasta habría olido a pasto de flores o a guano, pero no tenía por ahora a quién preguntárselo, sólo tenía manos para recogerla, para mirarla, para pasar su mano por su cabeza y sus patitas, pero entonces se cerraba y la sentía vagabundear por adentro, un ruidito suave en la oscuridad tibia y húmeda, como cuando él se hacía pipi y se adormilaba guardado en la oscuridad, hasta...
Traduction temporaire :
Elle n’était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l’arbre, peut-être même qu’elle avait l’odeur du pré en fleurs ou du guano, mais pour l’instant, il n’avait personne à qui poser la question, il n’avait que ses mains pour la prendre, la regarder, passer sa main sur sa tête et ses petites pattes, mais alors elle s’enfermait et il la sentait vagabonder à l’intérieur, un petit bruit délicat dans l’obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s’assoupissait, caché dans l’obscurité jusqu’à…
Elle n’était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l’arbre, peut-être même qu’elle avait l’odeur du pré en fleurs ou du guano, mais pour l’instant, il n’avait personne à qui poser la question, il n’avait que ses mains pour la prendre, la regarder, passer sa main sur sa tête et ses petites pattes, mais alors elle s’enfermait et il la sentait vagabonder à l’intérieur, un petit bruit délicat dans l’obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s’assoupissait, caché dans l’obscurité jusqu’à…
17 commentaires:
Elle n’était pas vilaine, elle était verte comme un morceau de vieil arbre, elle avait l’odeur d’un arbre, peut-être même avait-elle l’odeur du foin de fleurs ou du guano, mais pour l’instant, il n’avait personne à qui poser la question, il n’avait que ses mains pour la prendre, la regarder, caresser sa tête et ses petites pattes, mais alors elle s’enfermait et il la sentait vagabonder à l’intérieur, un petit bruit doux dans l’obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et somnolait, caché dans l’obscurité jusqu’à…
Elle n’était pas vilaine [ou « laide » ? Comme tu veux…], elle était verte comme un morceau de vieil arbre, elle avait l’odeur [ou « sentait » ?] d’un arbre, peut-être même avait-elle [temps ?] l’odeur du foin de fleurs ou du guano,
mais pour l’instant, il n’avait personne à qui poser la question, il n’avait que ses mains pour la prendre, la regarder, caresser sa tête et ses petites pattes, mais alors elle s’enfermait et il la sentait vagabonder à l’intérieur, un petit bruit doux dans l’obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et somnolait, caché dans l’obscurité jusqu’à…
Elle n'était pas vilaine, elle était verte, comme un bout de vieil arbre ; elle sentait l'arbre, peut-être même qu'elle sentait le pré fleuri ou le fumier, mais il n'avait personne à qui poser la question ; il n'avait que ses mains pour la tenir, pour la regarder, pour passer sa main sur sa tête et sur ses petites pattes ; mais alors elle s'enfermait et il la sentait vagabonder à l'intérieur, un petit bruit délicat dans l'obscurité tiède et humide, comme quand lui se faisait pipi dessus et s'assoupissait, protégé par l'obscurité, jusqu'à ce que...
J'ai mis des points-virgules mais je trouve que la phrase va aussi très bien avec des virgules :
Elle n'était pas vilaine, elle était verte, comme un bout de vieil arbre, elle sentait l'arbre, peut-être même qu'elle sentait le pré fleuri ou le fumier, mais il n'avait personne à qui poser la question, il n'avait que ses mains pour la tenir, pour la regarder, pour passer sa main sur sa tête et sur ses petites pattes, mais alors elle s'enfermait et il la sentait vagabonder à l'intérieur, un petit bruit délicat dans l'obscurité tiède et humide, comme quand lui se faisait pipi dessus et s'assoupissait, protégé par l'obscurité, jusqu'à ce que...
Audrey, comme nos commentaires étaient très rapprochés, as-tu vu le mien avec de traduire ? Le cas échéant, vois si tu peux aménager / fusionner le tout ; histoire de ne pas partir sur deux versions différentes…
Je n'ai vu vos publi qu'après avoir envoyé la mienne. Je reprends, donc :
Elle n’était pas vilaine [comme Hélène, je proposais de reprendre "vilaine"], elle était verte, [j'ai mis une virgule comme dans la VO] comme un morceau [bout ? C'est plus léger, non ?] de vieil arbre, elle sentait l'arbre, peut-être même avait-elle [temps ? > j'ai fait comme Hélène, le conditionnel me paraissait bizarre en français] l’odeur du foin de fleurs ou du guano,
Je propose "peut-être même que", car il s'agit d'un enfant.
pasto de flores : j'ai longtemps hésité et j'ai fini par proposer "pré fleuri" car le RAE dit :
1. m. Acción de pastar.
2. m. Hierba que el ganado pace en el mismo terreno donde se cría.
3. m. Cosa que sirve para el sustento del animal.
4. m. Sitio en que pasta el ganado. U. m. en pl. Galicia tiene buenos pastos.
et google images montre des prés en fleurs.
Hélène, je te laisse regarder le détail ce que propose Audrey… Une fois pesé et soupesé, mettez-moi une version définitive, sans explications ;-)
Elle n'était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l'arbre, peut-être même qu'elle sentait le pré fleuri ou le guano, mais pour l'instant il n'avait personne à qui poser la question, il n'avait que ses mains pour la prendre, pour la regarder, pour passer sa main sur sa tête et sur ses petites pattes, mais alors elle s'enfermait et il la sentait vagabonder à l'intérieur, un petit bruit délicat dans l'obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s'assoupissait, protégé par l'obscurité, jusqu'à...
Avec Audrey, on est d'accord pour cette version. A toi...
Elle n'était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l'arbre, peut-être même qu'elle sentait le pré fleuri [ou « en fleurs » ? Comme vous voulez…] ou le guano, mais pour l'instant il n'avait personne à qui poser la question [ou « il n'y avait personne à qui le demander » ?], il n'avait que ses mains pour la prendre, pour la regarder, pour passer sa main sur sa tête et sur ses petites pattes, mais alors elle s'enfermait et il la sentait vagabonder à l'intérieur, un petit bruit délicat dans l'obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s'assoupissait, protégé par l'obscurité, jusqu'à... [trouvez le raccourci clavier des points de suspension]
Elle n'était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l'arbre, peut-être même qu'elle sentait le pré en fleurs ou le guano, mais pour l'instant il n'y avait personne à qui le demander, il n'avait que ses mains pour la prendre, pour la regarder, pour passer sa main sur sa tête et sur ses petites pattes, mais alors elle s'enfermait et il la sentait vagabonder à l'intérieur, un petit bruit délicat dans l'obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s'assoupissait, protégé par l'obscurité, jusqu'à…
OK pour tes deux propositions. Le raccourci pour le … sur PC : ALT + 0133
Elle n'était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l'arbre, peut-être même qu'elle sentait le pré en fleurs ou le guano, mais pour l'instant il n'y avait personne à qui le demander, il n'avait que ses mains pour la prendre, pour la regarder, pour passer sa main sur sa tête et sur ses petites pattes, mais alors elle s'enfermait et il la sentait vagabonder à l'intérieur, un petit bruit délicat dans l'obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s'assoupissait, protégé par l'obscurité, jusqu'à…
OK. Audrey ?
Je reviens juste sur :
" il n’avait personne à qui poser la question " ou " il n'y avait personne à qui le demander ". Il me semble que c'est déjà apparu dans le texte. Dans ce cas-là, faut-il faire comme la VO, c'est-à-dire garder la même traduction ?
C'était exactement la même formulation ?
Je viens de vérifier. Déjà, on s'est plantées sur la phrase 35 : il faut mettre " il faudrait poser la question " au lieu de "il faudrait le demander ". Nous sommes d'accord dans les commentaires, puis à un moment, par erreur, on reprend une mauvaise trad.
Ce n'était pas exactement la même VO, mais on retrouve tous les mots : " tenía que preguntarlo ". Comme ça semble faire écho aux phrases précédentes, ne faut-il pas garder la même formulation ?
J'ai regardé quelques lignes plus haut, on avait "tendría que preguntarlo" et on avait traduit avec un impersonnel "mais il faudrait le demander"
La formulation de Caroline, avec l'impersonnel, colle donc. Et oui, c'est la même formulation du point de vue du sens. Pour moi, c'est ok.
Comme il faudra que je reprenne sur le doc de la version finale, mettez-moi clairement ce que vous voulez pour ces deux phrases
35
37
phrase 35: Apparemment – mais il faudrait poser la question – lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui un peu des différentes chambres de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.
phrase 37 : Elle n’était pas vilaine, elle était verte, comme un morceau de vieil arbre, elle sentait l’arbre, peut-être même qu’elle avait l’odeur du pré en fleurs ou du guano, mais pour l’instant, il n’avait personne à qui poser la question, il n’avait que ses mains pour la prendre, la regarder, passer sa main sur sa tête et ses petites pattes, mais alors elle s’enfermait et il la sentait vagabonder à l’intérieur, un petit bruit délicat dans l’obscurité tiède et humide, comme quand il se faisait pipi dessus et s’assoupissait, caché dans l’obscurité jusqu’à…
Voilà ce à quoi nous sommes arrivées. C'est bon ?
OK… Je colle tout ça.
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