dimanche 8 décembre 2013

Projet Julie – phrases 148-151

A partir de aquí soy otra persona, alguien distinto. La incomodidad y la tensión se disuelven, la realidad se eleva hasta la epifanía. Sin mover un músculo de su cara, Dao murmura algo. No me detiene.

Traduction temporaire :
À partir de là, je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité devient une véritable épiphanie. Sans qu'un seul muscle de son visage ne bouge, Dao marmonne quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

11 commentaires:

Julie Sanchez a dit…

À partir de ce moment-là, je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité atteint son paroxysme. Sans bouger un seul muscle de son visage, Dao murmure quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

On a déjà "murmurer" un peu plus haut (phrases 138-139) mais ici, les verbes qui me viennent sont trop connotés :/

Tradabordo a dit…

À partir de ce moment-là [ou simplement : « à partir de là » ?], je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité atteint son paroxysme [pourquoi tu changes ? Regarde bien dans le dico français]. Sans bouger un seul muscle de son visage [il vaudrait mieux que les muscles soient le sujet…], Dao murmure quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

Tradabordo a dit…

À partir de ce moment-là [ou simplement : « à partir de là » ?], je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité atteint son paroxysme [pourquoi tu changes ? Regarde bien dans le dico français]. Sans bouger un seul muscle de son visage [il vaudrait mieux que les muscles soient le sujet…], Dao murmure quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

Tradabordo a dit…

À partir de ce moment-là [ou simplement : « à partir de là » ?], je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité atteint son paroxysme [pourquoi tu changes ? Regarde bien dans le dico français]. Sans bouger un seul muscle de son visage [il vaudrait mieux que les muscles soient le sujet…], Dao murmure quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

Tradabordo a dit…

Oublié « murmurer » : marmonner ?

Julie Sanchez a dit…

À partir de là, je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité se fait jour. Sans qu'un seul muscle de son visage ne bouge, Dao marmonne quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

Tradabordo a dit…

À partir de là, je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité se fait jour [pourquoi tu changes ?]. Sans qu'un seul muscle de son visage ne bouge, Dao marmonne quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

Julie Sanchez a dit…

J'avais changé parce que je ne vois pas comment écrire la phrase en gardant "épiphanie".
Pour ce mot, voici la définition que j'ai trouvée sur le TLFI (il s'agit du 2e sens) :
P. fig. étymol. Manifestation d'une réalité cachée. "L'action est une épiphanie de l'être".

Tradabordo a dit…

La réalité devient une véritable épiphanie ?

Julie Sanchez a dit…

À partir de là, je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité devient une véritable épiphanie. Sans qu'un seul muscle de son visage ne bouge, Dao marmonne quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

Ah oui, tout simplement.

Julie

Tradabordo a dit…

À partir de là, je suis une autre personne, quelqu'un de différent. La gêne et la tension s'estompent, la réalité devient une véritable épiphanie. Sans qu'un seul muscle de son visage ne bouge, Dao marmonne quelque chose. Elle ne m'arrête pas.

OK.