samedi 14 décembre 2013

Projet Justine / Manon – phrase 35

Bastante había aguijoneado ya a los monjes como para no comprender que estaba revelando su secreto dormido por tantas edades ahí entre los jazmines que perfumaban los recreos de las cabras y los letargos monjiles mezclándose con el olor musgoso del incienso.

Traduction temporaire :
Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les récréations des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Il avait déjà assez aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret endormi depuis tant d'âges, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les réjouissances des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

J'ai repris « réjouissances » car c'est ce qu'on avait mis, mais avec ce nouveau contexte, je doute.

Tradabordo a dit…

Il avait déjà assez [« suffisamment » tout court ?] aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret [virgule ?] endormi depuis tant d'âges [naturel ?], là, au milieu des jasmins qui parfumaient les réjouissances [en effet, ça n'est pas génial, ici…] des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

Justine a dit…

Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les distractions des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

Tradabordo a dit…

Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les distractions [est-ce que ça n'est pas dans le sens de « récréations » ?] des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

Justine a dit…

Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les récréations des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'en

Tradabordo a dit…

La fin ?

Justine a dit…

Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les récréations des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

Tradabordo a dit…

Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les récréations des chèvres et les léthargies monacales, en se [qu'est-ce qui se mêle avec quoi ?] mêlant à l'odeur moussue de l'encens.

Unknown a dit…

Ok pour moi. Ce sont le parfum des jasmins et l'odeur moussue de l'encens qui se mélangent.

Pour « récréations », est-ce qu'il ne faut pas le remettre avant pour la répétition ?

Tradabordo a dit…

OK.

Remettez-moi la bonne version + je changerai « récréations ».

Unknown a dit…

Il avait suffisamment aiguillonné les moines pour comprendre qu'il était en train de révéler son secret, endormi depuis la nuit des temps, là, au milieu des jasmins qui parfumaient les récréations des chèvres et les léthargies monacales, en se mêlant à l'odeur moussue de l'encens.