Fernando Iwasaki (Pérou)
Las memorias de madame Quiñónez
Abre los ojos, Lulú, sé que no estás dormida... Almudena Grandes
Cada domingo a las doce después de la misa, los dormitorios de «La Nené» eran habitados por borrosos fantasmas que parecían brotar de las desvencijadas camas, como si volvieran a la vida en busca de antiguos rastros prisioneros por las sábanas almidonadas de amor.
Traduction temporaire :
Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.
Fernando Iwasaki (Pérou)
« Les mémoires de madame Quiñónez »
Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu ne dors pas… Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.
8 commentaires:
Les mémoires de madame Quiñonez
Ouvre les yeux, Lulu, je sais que tu n'es pas endormie... Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi après la messe, les dortoirs de "La Nené" étaient hantés par d'obscurs fantômes qui semblaient surgir des lits déglingués, comme s'ils revenaient à la vie à la recherche d'anciennes traces prisonnières des draps amidonnés d'amour.
(Je n'ai pas réussi à restituer les accents sur "Quiñonez" et "Lulu".)
Nom de l'auteur + pays (nécessaire… car après, je ferai directement un copier/coller dans « Travaux en cours » – cf colonne de droite du blog)
Il faut que tu trouves le raccourci clavier des accents espagnol.
Les mémoires de madame Quiñónez [guillemets français pour les titres des nouvelles : « »]
Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu n'es pas endormie... [raccourci clavier pour les points de suspension] Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi [virgule] après la messe, les dortoirs de "La Nené" étaient hantés par d'obscurs [FS ?] fantômes qui semblaient surgir des lits déglingués, comme s'ils revenaient à la vie [virgule] à la [une autre solution que cet enchaînement de « à la » ? Sinon, tant pis… mais au moins, réfléchis-y] recherche d'anciennes traces prisonnières des draps amidonnés d'amour [ou en inversant la syntaxe ?].
Fernando Iwasaki (Pérou)
« Les mémoires de madame Quiñónez »
Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu n'es pas endormie… Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.
Fernando Iwasaki (Pérou)
« Les mémoires de madame Quiñónez »
Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu n'es pas endormie [ou « ne dors pas » ; je trouve que c'est plus naturel, mais dis-moi…]… Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.
Instinctivement, j'avais moi aussi traduit par "ne dors pas". Et puis j'ai pensé qu'il fallait peut-être rester plus près du texte (mais je pense trop au capes là !). Je pense comme vous, "ne dors pas" est plus naturel
OK… alors remets-moi la bonne version – que je n'ai plus qu'à faire le copier-coller dans ton doc définitif.
Fernando Iwasaki (Pérou)
« Les mémoires de madame Quiñónez »
Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu ne dors pas… Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.
Fernando Iwasaki (Pérou)
« Les mémoires de madame Quiñónez »
Ouvre les yeux, Lulú, je sais que tu ne dors pas… Almudena Grandes
Chaque dimanche à midi, après la messe, les dortoirs de « La Nené » étaient hantés par des fantômes flous qui semblaient surgir des lits déglingués, comme si, prisonniers des draps amidonnés d'amour, ils revenaient en quête d'anciennes traces.
OK.
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