Los que pudimos refugiarnos en las alturas del cementerio comprendimos lo fácil que era pasar de vivos a muertos, era algo para no creer, hacía tan solo unas horas ese lugar parecía eterno y en ese momento no quedaba nada, había desaparecido por completo, solo la punta de las cuatro palmeras que adornaban la plaza se distinguían apenas como una prueba de lo que existió en un tiempo ahora ya lejano.
Traduction temporaire :
Ceux d'entre nous qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
Ceux d'entre nous qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
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Los que pudimos refugiarnos en las alturas del cementerio comprendimos lo fácil que era pasar de vivos a muertos, era algo para no creer, hacía tan solo unas horas ese lugar parecía eterno y en ese momento no quedaba nada, había desaparecido por completo, solo la punta de las cuatro palmeras que adornaban la plaza se distinguían apenas como una prueba de lo que existió en un tiempo ahora ya lejano.
Ceux qui purent se réfugier dans les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de mourir. C'était à n'en pas croire ses yeux, seulement quelques heures auparavant, cet endroit semblait éternel et il ne restait maintenant plus rien ; il avait complètement disparu, seule se distinguait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé dans un temps désormais lointain.
Ceux qui purent se réfugier dans [« sur » ?] les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de mourir [pourquoi tu as changé ?].
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vivants à morts [parce que la trad' littérale me semblait bizarre]
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vivants à morts [parce que la trad' littérale me semblait bizarre / il y a une expression français pour dire cela…]
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer l'arme à gauche [?]
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer l'arme à gauche [?] [non, moins populaire… mais c'est bien avec « passer » qu'il faut le traduire ; je te laisse chercher ;-)]
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas.
Aaaah ! Voilààààà… ;-)
Tu me colles la suite, stp ?
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux, seulement quelques heures auparavant, cet endroit semblait éternel et il ne restait maintenant plus rien ; il avait complètement disparu, seule se distinguait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé dans un temps désormais lointain.
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux, [ponctuation à travailler] seulement [mets-le après] quelques heures auparavant, cet endroit semblait éternel et [travailler davantage l'opposition] il ne restait maintenant plus rien [syntaxe] ;
il avait complètement disparu, seule se distinguait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé dans un temps désormais lointain.
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel alors que plus rien ne restait maintenant ;
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel alors que plus rien ne restait maintenant [la fin manque de naturel / vois en travaillant la syntaxe] ;
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel alors qu'il ne restait maintenant plus rien
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel [virgule] alors qu'il ne [ou « n'en » ?] restait maintenant [avance-le] plus rien
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que, maintenant, il n'en restait maintenant plus rien ;
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait maintenant [relis-toi et supprime la répétition] plus rien ;
Sinon, OK… tu peux coller la suite.
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu, seule se distinguait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé dans un temps désormais lointain.
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu, seule se distinguait [un peu un hispanisme] la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé dans un temps [ou avec « époque » ?] désormais lointain [ou « révolue » ?].
Ceux qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu, seule persistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue [oui, "révolue" parfait, c'est ce à quoi je pensais, mais je ne savais pas si ça avait exactement le même sens].
Ceux [au fait, il faut ajouter « d'entre nous »… sinon, le narrateur n'est plus compris dans le lot] qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu, [point ?] seule persistait [mal dit ici] la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
Ceux [au fait, il faut ajouter « d'entre nous »… sinon, le narrateur n'est plus compris dans le lot] qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
Ceux [au fait, il faut ajouter « d'entre nous »… sinon, le narrateur n'est plus compris dans le lot / TU N'AS PAS VU ?????] qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
Ceux d'entre nous [ok. Je le rajoute aussi phrase 11 : "quines lo vimos creímos que etc" ?] qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
Ceux d'entre nous [ok. Je le rajoute aussi phrase 11 : "quines lo vimos creímos que etc" ? / Ça, fait-le sur ta version pour les relectures… car moi, revenir en arrière est trop compliqué…] qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
Ceux d'entre nous qui purent se réfugier sur les hauteurs du cimetière comprirent combien il était facile de passer de vie à trépas. C'était à n'en pas croire ses yeux : quelques heures auparavant seulement, cet endroit semblait éternel, alors que maintenant, il n'en restait plus rien ; il avait complètement disparu. Seule subsistait la cime des quatre palmiers qui décoraient la place, comme autant de preuve de ce qui avait existé à une époque désormais révolue.
OK.
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