En los inviernos subterráneos existen también las nevadas, las tormentas, el frío. La noche es su niñera; les canta canciones de cuna hechas de trocitos de tiniebla. Clic-clic-clic. Allí sigue mi hijo, y todavía me sonríe. La espera está por concluir.
Traduction temporaire :
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice ; elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il continue de me sourire. L'attente touche à sa fin.
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice ; elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il continue de me sourire. L'attente touche à sa fin.
7 commentaires:
Dans les hivers souterrains, les chutes de neiges, les tempêtes, le froid existent aussi. La nuit est votre nourrice, elle vous chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là à me sourire. L'attente touche à sa fin.
Dans [?] les hivers souterrains, les chutes de neiges, les tempêtes, [« et » ?] le froid existent aussi. La nuit est votre nourrice, elle vous chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là à me sourire [« , il me sourit »]. L'attente touche à sa fin.
Est-ce que les « su » ne peuvent pas se rapporter à « inviernos » ?
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice, elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il me sourit [on ne traduit pas le « todavía » ?]. L'attente touche à sa fin.
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice, [ou point-virgule ?] elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il me sourit [on ne traduit pas le « todavía » ? SI]. L'attente touche à sa fin.
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice ; elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il continue de me sourire. L'attente touche à sa fin.
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice ; elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il continue de me sourire. L'attente touche à sa fin.
OK.
Justine ?
Au cœur des hivers souterrains, les chutes de neige, les tempêtes et le froid existent aussi. La nuit est leur nourrice ; elle leur chante des berceuses faites de petits morceaux de ténèbres. Clic-clic-clic. Mon fils est toujours là, il continue de me sourire. L'attente touche à sa fin.
OK.
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