Caí de rodillas y comencé a gritar, ya no de terror o miedo, sino de angustia. Pobrecillas, ya entenderán, siempre es igual: Ainitze encuentra la foto y cae de rodillas; Edurne se acerca y, al ver la foto, comienza a cavar con sus manos una de las tumbas, e Izaskun permanece quieta, temblando, y mirando hacia ninguna parte.
Traduction temporaire :
Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
6 commentaires:
Je tombai à genoux et commençai à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, elles vont comprendre maintenant, c'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, voyant la photo, commence à creuser de ses mains ["à mains nues ?"] l'une des tombes, et Izaskun reste immobile, à trembler et à regarder ["les yeux" ?] dans le vide.
Je tombai à genoux et me mis à hurler, ce n'était plus de la terreur ou de la peur, non, mais de l'angoisse. Pauvre petites, elles auront compris, toujours le même résultat : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, en voyant la photo, commence à creuser une des tombes ; et Izaskun reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
Je tombai à genoux et me mis à hurler,
OK
non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse.
OK
Pauvres petites,
OK
(attention à la relecture, Élise)
« ça y est, elles vont comprendre » ?
c'est toujours la même chose
OK… je m'interroge juste sur la ponctuation avant
Ainitze trouve la photo et tombe à genoux
OK
Edurne s'approche et, voyant [ou « après avoir » ?] la photo, commence à creuser de ses mains ["à mains nues ?" OUI] l'une des tombes
; [oui, Élise, pour le point-virgule…] et Izaskun [cheville : « , elle, »] reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
J'ai hésité entre le point virgule et le point, mais ça faisait trop de points virgules, alors j'ai opté pour le point :
Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
Je tombai à genoux et me mis à hurler, non plus de terreur ni de peur, mais d'angoisse. Pauvres petites, ça y est, elles vont comprendre. C'est toujours la même chose : Ainitze trouve la photo et tombe à genoux ; Edurne s'approche et, après avoir vu la photo, commence à creuser à mains nues l'une des tombes ; et Izaskun, elle, reste immobile, tremblante, le regard dans le vide.
OK.
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