samedi 2 novembre 2013

Projet Céline – phrase 101


¿Soledad con tres hijos, sola mientras arreglaba rápidamente las ropas de sus hijos, los peinaba, les colocaba las gorras, por fin se llevó las dos manos a la cabellera, hizo un gesto inicial que quedó inconcluso, como si hubiera deseado acicalarse también un poco ella, ¿pero eso no habría sido demasiado, demasiado si nadie le esperaba, demasiado si él, como le había explicado o tratado de explicar, ni siquiera saldría de la estación, pues debía tomar rápidamente el otro tren, esta vez el correcto, el directo de Parigi?

Traduction temporaire :
De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule, occupée à arranger à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Enfin, elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si, elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare ; car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon cette fois-ci, en direction de Parigi ?

10 commentaires:

Unknown a dit…

Il y a une coquille dans la VO, c’est bien « si nadie LA esperaba ».

Solitude avec trois enfants, seule tandis qu’elle arrangeait à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Puis elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare, car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon, cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Tradabordo a dit…

Solitude avec trois enfants, seule tandis qu’elle arrangeait à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ?

Pas moyen de lui faire prendre la forme d'une question ?

Unknown a dit…

Était-ce une solitude avec trois enfants, était-elle seule tandis qu’elle arrangeait à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Puis elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare, car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon, cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Tradabordo a dit…

Était-ce une solitude avec [ou : « De la solitude, alors que » ? Qu'en penses-tu ?] trois enfants, était-elle seule tandis qu’elle arrangeait à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ?

Unknown a dit…

De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule et qu’elle arrangeait à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Puis elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare, car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon, cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Tradabordo a dit…

De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule et qu’elle arrangeait [ou « à arranger » ? J'hésite] à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Puis [« Por fin » ?] elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si [virgule ?] elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare, [point-virgule ?] car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon, cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Unknown a dit…

De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule à arranger à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Enfin, elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si, elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare ; car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon, cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Tradabordo a dit…

De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule [« , occupée »] à arranger à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Enfin, elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si, elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare ; car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Unknown a dit…

De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule, occupée à arranger à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Enfin, elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si, elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare ; car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon cette fois-ci, en direction de Parigi ?

Tradabordo a dit…

De la solitude, alors qu’elle avait trois enfants, qu’elle était seule, occupée à arranger à la hâte les vêtements de ses enfants, les coiffait, leur mettait leur casquette sur la tête ? Enfin, elle porta ses mains à ses cheveux, esquissa un geste qu’elle n’acheva pas, comme si, elle aussi, elle avait voulu s’apprêter un peu. Mais cela n’aurait-il pas été trop, trop si personne ne l’attendait, trop si lui, comme il l’avait expliqué – ou essayé d’expliquer –, il ne sortirait même pas de la gare ; car il devait se dépêcher pour monter dans l’autre train, le bon cette fois-ci, en direction de Parigi ?

OK.