lundi 18 novembre 2013

Projet Céline – phrase 110

La mamma había contestado rápidamente esa pregunta y hasta pensó, con alguna esperanza – y este pensamiento le avergonzaba y le mostraba lo débil que se estaba portando –, que ella se había ruborizado, ese rubor que tiñe enteramente el rostro de la mujer amada, deseada, imaginada en el sueño o en la soledad y que dentro de esa luz avergonzada y mágica, se presenta, por una sola vez en la vida, enteramente frágil, quebradiza, capaz de absorber el mundo, el amor, la desgracia, los brazos, la boca, la cabellera, las orejas, del hombre rápidamente formado mientras la locomotora se iba un poco hacia adelante, hacia abajo, hasta muy abajo donde él se sentía solo y terminado y ridículo.

Traduction temporaire :
La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans ses songes ou dans la solitude, et qu'à l'intérieur de cette lumière honteuse et magique, elle apparaît, pour la seule fois de la vie, entièrement fragile, vulnérable, capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

6 commentaires:

Unknown a dit…

La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans le rêve ou dans la solitude, et que dans cette lumière honteuse et magique, elle est, pour la seule fois de sa vie, entièrement fragile, faible, capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

Tradabordo a dit…

La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans le rêve [ou avec « ses songes » ?] ou dans la solitude, et que [virgule ?] dans cette lumière honteuse et magique, elle est [« apparaît » ?], pour la seule fois de sa [j'hésite pour le possessif…] vie, entièrement fragile, faible [sûre ? Je ne dis pas non…], capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

Unknown a dit…

La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans ses songes ou dans la solitude, et que, dans cette lumière honteuse et magique, elle apparaît, pour la seule fois de la vie, entièrement fragile, vulnérable, capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

Tradabordo a dit…

La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans ses songes ou dans la solitude, et que, dans [ennuyeux cette répétition du « dans », qui place sur le même plan des choses qui ne le sont pas] cette lumière honteuse et magique, elle apparaît, pour la seule fois de la vie, entièrement fragile, vulnérable, capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

Unknown a dit…

La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans ses songes ou dans la solitude, et qu'à l'intérieur de cette lumière honteuse et magique, elle apparaît, pour la seule fois de la vie, entièrement fragile, vulnérable, capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

Tradabordo a dit…

La mamma avait répondu rapidement à cette question et il était allé jusqu’à penser, avec un peu d’espoir – et il avait honte de cette pensée qui lui montrait la faiblesse dont il faisait preuve –, qu’elle avait rougi, de ce rouge qui colore entièrement le visage de la femme aimée, désirée, imaginée dans ses songes ou dans la solitude, et qu'à l'intérieur de cette lumière honteuse et magique, elle apparaît, pour la seule fois de la vie, entièrement fragile, vulnérable, capable d’absorber le monde, l’amour, le malheur, les bras, la bouche, les cheveux, les oreilles de l’homme rapidement formé tandis que la locomotive partait un peu vers l’avant, vers le bas, vraiment vers le bas, là où il se sentait seul, las et ridicule.

OK.