Pedro Llamazares
(Espagne)
El sueño de la princesa.
La hija del alcalde soñaba que era una princesa que soñaba que era la hija del alcalde soñando. Las dos se despertaron sobresaltadas, y respiraron aliviadas. La hija del alcalde porque no tuvo que pasar cien años dormida en la torre. La princesa porque al fin habían pasado.
Traduction temporaire :
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce que les cent ans en question étaient enfin derrière elle.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce que les cent ans en question étaient enfin derrière elle.
16 commentaires:
Le rêve de la princesse
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse, qui elle même rêvait qu'elle était la fille du maire entrain de rêver. Les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées: la fille du maire car elle ne dut pas passer cent ans endormie dans la tour; la princesse car enfin, ils étaient passés.
Vous mettrez le nom de l'auteur + le pays
Le rêve de la princesse [guillemets «», pour les titres des nouvelles]
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse, [pourquoi l'ajout de cette virgule ?] qui elle même [tiret ; mais pourquoi ce changement ? La phrase n'est-elle pas volontairement simple en espagnol ?] rêvait qu'elle était la fille du maire entrain [orthographe] de rêver. Les deux [ou « Toutes les deux » / « L'une et l'autre » / « L'une comme l'autre » ?] se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées[espace avant les deux points]: la fille du maire [virgule]car [pas plus naturel avec « parce que » ?] elle ne dut [ou « n'eut pas à » ?] pas passer cent ans endormie dans la tour[espace avant les points-virgules]; la princesse [virgule] car [«parce qu'» ] enfin, ils étaient passés [est-ce clair en espagnol ?].
Pedro Llamazares (Espagne)
«Le rêve de la princesse»
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à pas passer cent ans endormie dans la tour ; la princesse, parce qu'enfin ils s'étaient écoulés.
(cela ne se réfère pas aux cent ans?)
Espace après et avant les guillemets et avant les points d'interrogation. Je vous laisse corriger. Ça n'est pas pour vous embêter, mais parce que pour des raisons pratiques, il faut que je puisse ensuite enregistrer avec un simple copier-coller, sans avoir à faire ce travail de nettoyage.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à pas passer cent ans endormie dans la tour ; la princesse, parce qu'enfin ils s'étaient écoulés.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à pas passer cent ans endormie dans la tour ; la princesse, parce qu'enfin ils s'étaient écoulés [est-ce qu'on comprend bien qu'il s'agit des cent ans en question ? Sinon, il faut aider un peu en explicitant légèrement… À vous de voir ce qu'il convient de faire ;-)].
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à pas passer cent ans endormie dans la tour ; la princesse, parce qu'enfin ce siècle s'était écoulé.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à pas passer cent ans endormie dans la tour ; la princesse, parce qu'enfin ce [ou « le »] siècle [cheville : « en question » ? Ce que je crois nécessaire, c'est bien relier les deux] s'était écoulé.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à pas passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce qu'enfin le siècle s'était écoulé.
(J'ai du mal à voir où vous voulez en venir...?)
Nous sommes bien d'accord que le siècle de l'une = les cent ans de l'autre ? Si oui, je me demande juste si c'est assez clairement explicite dans la solution que vous proposez. Je ne dis pas non ; il se trouve juste que j'essaie toujours de me mettre à la place du lecteur francophone de base. Le cas échéant, faites le test avec quelqu'un de votre entourage et vous verrez ce que ça donne…
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce qu'enfin le siècle qu'elle aurait dû passer endormie s’était écoulé.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce qu'enfin le siècle qu'elle aurait dû passer endormie s’était écoulé.
Non, là, pour le coup, je pense que c'est trop explicite… surtraduction ;-)
Peut-être en répétant « cent ans » + « en question » ou « lesdits ». Essayez…
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce qu'enfin les cent ans en question s’étaient écoulés.
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce qu'enfin les cent ans en question s’étaient écoulés.
Ou :
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce que les cent ans en question étaient enfin derrière elle.
?
oui c'est mieux! ;-) je crois qu'à trop rester bloqué sur une phrase, on ne voit plus les autres solutions...!
Pedro Llamazares (Espagne)
« Le rêve de la princesse »
La fille du maire rêvait qu'elle était une princesse qui rêvait qu'elle était la fille du maire en train de rêver. Toutes les deux se réveillèrent en sursaut et reprirent leur souffle, soulagées : la fille du maire, parce qu'elle n'eut pas à passer cent ans endormie dans la tour et la princesse, parce que les cent ans en question étaient enfin derrière elle.
OK.
Vous me direz si vous voulez continuer… Je vous préviens quand je publie.
Enregistrer un commentaire