—¿Una qué?- respondió su esposa arrugando el entrecejo.
— Hayaca, mi amor, el pastel de maíz que comiste hace años en Venezuela.
— Llevamos prisa, Rubén, ¿no puedes esperar a esta noche?
— No. Mejor ahora.
Traduction temporaire :
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
— Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
6 commentaires:
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le gâteau de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années.
— Nous sommes pressés, Ruben, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils [ou : « , les sourcils froncés » ? Comme tu veux].
— Une hayaca, mon amour, le gâteau de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années [cheville : « de cela » ou inutile ? Essaie…].
— Nous sommes [ou avec « on » ?] pressés, Ruben [orthographe], tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le gâteau de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressé, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le gâteau [juste pour être sûre : tu es certaine qu'il s'agit bien d'un « gâteau » ? Vérifie ou confirme…] de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressé [ou « és » ? Vérifie], Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
— Une quoi ? répondit son épouse en fronçant les sourcils.
— Une hayaca, mon amour, le pâté de maïs que tu as mangé au Venezuela, il y a des années de cela.
— On est pressés, Rubén, tu ne peux pas attendre ce soir ?
— Non. Maintenant, c’est mieux.
OK.
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