samedi 14 décembre 2013

Projet Marie-G. – phrases 55-56

En la imaginación de Joaquín, Islandia era una postal solitaria. Había una casa de madera, con una chimenea siempre humeante, frente a un jardín cubierto de nieve fresca.

Traduction temporaire :
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.

7 commentaires:

Maria a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée toujours fumante, face à un jardin couvert de neige fraîche.



Tradabordo a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée toujours fumante [ou « fumant en permanence » ?], face à [« devant » ?] un jardin couvert de neige fraîche.

Maria a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée perpétuellement fumante, devant un jardin couvert de neige fraîche.

Tradabordo a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée perpétuellement fumante [sûre que c'est pas mieux « fumant perpétuellement » ? Comme tu veux, mais pèse bien le pour et le contre…], devant un jardin couvert de neige fraîche.

Maria a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.

Maria a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.

Tradabordo a dit…

Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.

OK.