En la imaginación de Joaquín, Islandia era una postal solitaria. Había una casa de madera, con una chimenea siempre humeante, frente a un jardín cubierto de nieve fresca.
Traduction temporaire :
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.
7 commentaires:
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée toujours fumante, face à un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée toujours fumante [ou « fumant en permanence » ?], face à [« devant » ?] un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée perpétuellement fumante, devant un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée perpétuellement fumante [sûre que c'est pas mieux « fumant perpétuellement » ? Comme tu veux, mais pèse bien le pour et le contre…], devant un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.
Dans l'esprit de Joaquín, l’Islande était une carte postale solitaire : un chalet en bois, avec une cheminée fumant perpétuellement, devant un jardin couvert de neige fraîche.
OK.
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