¿Era un castigo, como el que le daban a sus hermanas en las monjas María de Cervellón cuando no las dejaban salir un domingo y Elena se quedaba furiosa, haciendo dibujos en el suelo de su cuarto, haciendo dibujos en el papel de la muralla, en sus delantales, en los delantales de su hermana Mercedes?
Traduction temporaire :
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au pensionnat María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au pensionnat María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
21 commentaires:
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs chez les religieuses de María Cervellón quand elles n’étaient pas autorisées à sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes.
C’était [« Était-ce »] une punition, comme celle que recevaient [en V.O., c'est « LE daban » ; ça ne change pas le sens ?] ses sœurs chez les religieuses de María Cervellón quand elles n’étaient pas autorisées à sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes.
Je suppose qu'on devrait corriger la VO ; ça doit faire partie des multiples coquilles, et du coup ça donnerait : "LES daban a sus hermanas"
OK… alors remets.
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs chez les religieuses de María Cervellón quand elles n’étaient pas autorisées à sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
1) Effectivement, j'ai relu le passage de la VO, et du point de vue grammatical, LE ne renvoie à rien. Ce doit être LES. J'ai donc conservé ma trad.
2) J'avais oublié la forme interrogative, j'ai donc ajouté un point d'interrogation. Par contre, pour être cohérente avec les interrogations précédentes, que l'on a traduites par "C'était grave ? C'était honteux ? ...", j'ai conservé cette structure.
Qu'en dites-vous ?
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs chez les religieuses de María Cervellón quand elles n’étaient pas autorisées à [ou « avaient interdiction de » ? Comme vous voulez…] sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs chez les religieuses de María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
OK pour moi.
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au couvent María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
Audrey ?
J'ai envoyé un commentaire il y a une petite heure je pense... ???
Pas vu… Peut-être passé dans les spams. Le plus sûr est de remettre ton commentaire.
Ça y est retrouvé et il s'est mis à sa place… J'y vais.
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au couvent María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
Je ne vois pas… Tu n'as rien changé. Si tu valides, mets un OK. Ce sera clair. J'attends ta réponse pour mettre la suite, au cas où…
J'ai juste proposé "au couvent María Cervellón" au lieu de "chez les religieuses de María Cervellón"
Hélène, qu'en penses-tu ?
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au pensionnat María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
J'ai mené l'enquête car j'avais un petit doute... María Cervellón au Chili n'est pas un couvent, mais une école (mixte) tenue par des religieuses, autrement dit un pensionnat, qui existe depuis un peu plus de 100 ans. Le terme "pensionnat" me semble adapté, mais en cas de doute, on peut laisser "chez les religieuses". À vous de me dire...
Audrey ?
Ok.
J'ai cherché "muralla", car ça me fait vraiment bizarre, mais apparemment, ça renvoie uniquement à la muraille...
Donc ok
Remettez la bonne version quand vous êtes d'accord.
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au pensionnat María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
C’était une punition, comme celle que recevaient ses sœurs au pensionnat María Cervellón quand elles avaient interdiction de sortir le dimanche et qu’Elena, furieuse, faisait des dessins sur le sol de sa chambre, faisait des dessins sur le papier recouvrant la muraille, sur ses tabliers, sur les tabliers de sa sœur Mercedes ?
ok
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