Si vous voulez en savoir plus sur ce que cache cette formule un tantinet radicale – jugeront sans doute certains –, allez donc passer quelques minutes à cette adresse pour lire l'article de Sophie Képès (faites-le par curiosité et non pour nourrir un quelconque ressentiment à l'égard des auteurs en général avant même d'avoir commencé votre traduction longue) :
http://www.larevuedesressources.org/article.php3?id_article=307
http://www.larevuedesressources.org/article.php3?id_article=307
N'est-elle pas amusante cette remarque d'une traductrice de l'allemand (et qui a servi de point de départ à la réflexion de l'auteur de l'article) : « Je préfère traduire des textes courts, car à la 250ème page d’un roman, j’ai envie d’égorger l’auteur ; et si par malheur il est vivant, s’il s’imagine connaître la langue française et se mêle d’intervenir dans mon travail, j’ai encore plus envie de le tuer ! » ?
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