En écho à ce que disait Nathalie il y a quelques jours à propos de la nécessité de faire subir à son travail l'épreuve du gueuloir stendhalien – à laquelle j'ajoute celle du "gesticuloir" – (à l'évidence notre apprentie traductrice rêvait d'un auditoire fourni pour déclamer et mimer ses traductions… comme je la comprends !), voici comment commence le roman déjà mentionné de Jacques Gélat (Le Traducteur) [au passage, je remercie une ancienne étudiante de CAPES, Teresa Coronel Silva, qui me l'a gentiment offert en 2007 ; je dois avouer que ce jour-là, elle me l'a tendu avec un petit sourire malicieux… Fallait-il que j'en prenne de la graine ? Mais de la graine de quoi ? En tout cas j'avoue : il y a belle lurette que la suppression abusive d'un point virgule ne me fait plus peur…].
J'espère que ces quelques phrases vous donneront envie de vous procurer le livre.
« Je suis un traducteur. Au départ c'est un plaisir qui ressemble un peu au métier de comédien. On doit se faire à l'autre, l'écouter, le comprendre, s'en imprégner, avec cette différence qu'au lieu d'un personnage, c'est un roman qu'il va falloir traduire… »
J'espère que ces quelques phrases vous donneront envie de vous procurer le livre.
« Je suis un traducteur. Au départ c'est un plaisir qui ressemble un peu au métier de comédien. On doit se faire à l'autre, l'écouter, le comprendre, s'en imprégner, avec cette différence qu'au lieu d'un personnage, c'est un roman qu'il va falloir traduire… »
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