vendredi 18 octobre 2013

Projet Céline – phrase 100


Y por supuesto, que no dejaban de venirle pensamientos tentadores, quedarse en Roma unas horas, una noche, seguir a esa donna, irla a dejar a su casa, si es que tenía, casa, irla a acompañar un poco, si es que estaba sola, pues ella no había dicho de nadie que la esperara.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

4 commentaires:

Unknown a dit…

Et bien sûr, des pensées tentantes n’arrêtaient pas de lui passer par la tête : rester à Rome quelques heures, une nuit, suivre cette donna, la raccompagner jusqu’à sa maison, si tant est qu’elle en ait une, de maison, lui tenir un peu compagnie, si tant est qu’elle soit seule, car elle n’avait parlé de personne qui l’attendait.

Tradabordo a dit…

Et, bien sûr, des pensées tentantes [ou « tentatrices » ? Comme tu veux] n’arrêtaient pas de lui passer par la tête : rester à Rome quelques heures, une nuit, suivre cette donna, la raccompagner jusqu’à sa maison [ou simplement « chez sa maison » ?], si tant est qu’elle en ait une, de maison, lui tenir un peu compagnie, si tant est qu’elle soit seule, car elle n’avait parlé de personne qui l’attendait.

Unknown a dit…

Et, bien sûr, des pensées tentatrices n’arrêtaient pas de lui passer par la tête : rester à Rome quelques heures, une nuit, suivre cette donna, la raccompagner jusqu’à sa maison [ou simplement « chez sa maison » / ça se dit : « chez sa maison » ?], si tant est qu’elle en ait une, de maison, lui tenir un peu compagnie, si tant est qu’elle soit seule, car elle n’avait parlé de personne qui l’attendait.

Tradabordo a dit…

Et, bien sûr, des pensées tentatrices n’arrêtaient pas de lui passer par la tête : rester à Rome quelques heures, une nuit, suivre cette donna, la raccompagner jusqu’à sa maison, si tant est qu’elle en ait une, de maison, lui tenir un peu compagnie, si tant est qu’elle soit seule, car elle n’avait parlé de personne qui l’attendait.

OK.