A veces se sienta también ella a desvestir lentamente su cerebro frente al televisor, proceso que le seca los ojos y la devuelve siempre a la niñez, a la casa con escalera de Directorio al 400, su padre altísimo y con el pelo renegro, elegante (“con las mismas pilchas de antes”), mano de obra empleada catorce horas por día seis días por semana, cinco bocas que alimentar, don, necesito trabajar.
Traduction temporaire :
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs foncés, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), de la main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs foncés, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), de la main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
21 commentaires:
Parfois, elle s'assoit elle aussi devant le téléviseur pour lentement faire le vide dans sa tête ; procédé qui lui sèche les yeux et lui rappelle toujours son enfance : l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assoit [ou « s'assied » ?] elle aussi devant le téléviseur pour lentement faire le vide dans sa tête [je me demande si ça n'est pas dommage de changer… L'image est intéressante / reviens à la V.O.] ; procédé qui lui sèche les yeux et lui rappelle toujours son enfance : l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et lui rappelle toujours son enfance : l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et lui rappelle [plus près de la V.O.] toujours son enfance : [reviens à la V.O. / c'est une énumération à partir de l'enfance] l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours dans ses souvenirs d'enfance : l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours dans ses souvenirs d'enfance : [non… reprends texto la V.O. ; sans ces deux points… L'énumération englobe d'abord « son enfance »] l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et lui rend toujours son enfance, l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et lui rend [mais non, c'était bien dans le sens de « ramener »… Corrige ;-)] toujours son enfance, l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et lui ramène toujours son enfance, l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Du coup, êtes-vous d'accord ?
Désolée, ton com m'avait échappé…
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et lui ramène [« la ramène à »] toujours son enfance, l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, l'office de la Direction avec l'escalier au 400, son père très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, [du coup, il faut remettre les « à»] l'office de la Direction avec l'escalier au 400 [sûre de l'interprétation ? Tu as fait des recherches], son père [virgule] très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits [sûre ?] qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, monsieur [ça ne se traduit pas], j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à l'office de la Direction avec l'escalier au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits [oui, j'ai cherché] qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Pour "Directorio", je n'ai trouvé que "l'ensemble de personnes qui dirigent ou commandent un groupe ou une chose" qui pourrait aller dans ce contexte. J'ai donc interprété par : "office de la Direction" ou "bureau de la Direction".
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à l'office de la Direction avec l'escalier au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits [oui, j'ai cherché] qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Directorio :
http://es.wikipedia.org/wiki/Estilo_Directorio
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier de style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Merci, je n'aurais jamais trouvé...
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier de [nécessaire ? Vérifie comment on dit quand on décrit un meuble d'un certain style…] style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs [« REnegro » ; plus fort quand même…], élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), [cheville : « de la » ?] main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs foncés, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), de la main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
Parfois, elle s'assied elle aussi devant le téléviseur pour lentement dévêtir son cerveau ; procédé qui lui sèche les yeux et la ramène toujours à son enfance, à la maison avec l'escalier style Directoire au 400, à son père, très grand, aux cheveux noirs foncés, élégant ("avec les mêmes habits qu'il portait avant"), de la main-d'œuvre employée quatorze heures par jour, six jours sur sept, cinq bouches à nourrir, don, j'ai besoin d'un travail.
OK.
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