samedi 16 novembre 2013

Projet Morgane 6

Edgar Omar Avilés

(Mexique)

EL BRUJO DECAPITADO


Cuando el hacha del maestro verdugo cercenó la cabeza, en la plaza todo el pueblo aplaudió aliviado, libre, al fin, de la malevolencia del brujo, de su risa oxidada, de sus promesas de muerte. Pero al caer la cabeza, del cuello surgió otra diferente. Ésta también fue cortada, mas otra brotó como capullo. Las cabezas decapitadas se apilaban, nacidas una tras otra del insólito cuello del brujo. Aunque los brazos del verdugo estaban cada vez más cansados y los aplausos menguaban, repetía la operación concentrando el mismo coraje en cada tajada, hasta que un par de horas después todo empezó a dar vueltas al ritmo de la risa oxidada. En ese instante el verdugo vio que en la plaza todo el pueblo yacía decapitado, mientras su cabeza rodaba junto con las demás.

Traduction temporaire :
Edgar Omar Avilés
(Mexique) 

« Le sorcier décapité » 


Quand, sur la place, la hache du bourreau coupa la tête, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Sauf qu'au moment où la tête tomba, il en apparut une autre, différente, sur le cou. Celle-là aussi fut coupée, mais une autre jaillit, tel un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, sorties les unes après les autres de l'étrange cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent de plus en plus fatigués et que les applaudissements diminuassent, il répétait l'opération, rassemblant son courage dans chaque coup de hache ; jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à s'en aller au rythme du rire oxydé. À ce moment-là, le bourreau s'aperçut que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête, elle aussi, traînait, à côté des autres.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

Le sorcier décapité

Quand la hache du maître bourreau rogna la tête, sur la place, tout le village applaudit, enfin soulagé, libéré de la malveillance du sorcier, de son rire sadique, de ses menaces de mort. Mais, au moment où la tête tomba, il en surgit une autre du cou, différente. Celle-ci aussi fut coupée, mais une autre poussa comme un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, toutes sorties les unes après les autres de l'insolite cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent chaque fois un peu plus fatigués et que les applaudissements réduisissent, il répétait l'opération regroupant tout son courage dans chaque coup de hache, jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à faire demi-tour au rythme du rire sadique. À ce moment-là, le bourreau vit que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête y traînait aussi, avec les autres.

Tradabordo a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

Le sorcier décapité [les guillemets des titres pour les nouvelles !]

Quand la hache du maître bourreau [tu as vérifié que ça se dit bien également en français ?] rogna [on le dit aussi dans ce contexte-là ? Confirme…] la tête, sur la place, tout le village applaudit, enfin [le « enfin » ne va pas avec « soulagé »] soulagé, libéré de la malveillance [sûre pour ici ? Je ne dis pas que ça ne va pas…] du sorcier, de son rire sadique [?], de ses menaces de mort.

Unknown a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand la hache du bourreau coupa la tête, sur la place, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Mais, au moment où la tête tomba, il en surgit une autre du cou, différente. Celle-ci aussi fut coupée, mais une autre poussa comme un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, toutes sorties les unes après les autres de l'insolite cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent chaque fois un peu plus fatigués et que les applaudissements réduisissent, il répétait l'opération regroupant tout son courage dans chaque coup de hache, jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à faire demi-tour au rythme du rire sadique. À ce moment-là, le bourreau vit que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête y traînait aussi, avec les autres.

Tradabordo a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand la hache du bourreau coupa la [ou « cette » idée ? Ça dépend de la suite… Mais réfléchis bien] tête, sur la place, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces [est-ce exactement le même sens que ce que dit l'auteur ? Pèse le pour et le contre] de mort. Mais [ou « Sauf que » ?], au moment où la tête tomba [ou « roula » ?], il en surgit [verbe adapté ici ?] une autre du [ou « sur le »] cou, différente.

Unknown a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand la hache du bourreau coupa la tête, sur la place, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Sauf que, au moment où la tête tomba, il en apparut une autre sur le cou, différente. Celle-ci aussi fut coupée, mais une autre poussa comme un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, toutes sorties les unes après les autres de l'insolite cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent chaque fois un peu plus fatigués et que les applaudissements réduisissent, il répétait l'opération regroupant tout son courage dans chaque coup de hache, jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à faire demi-tour au rythme du rire sadique. À ce moment-là, le bourreau vit que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête y traînait aussi, avec les autres.

Unknown a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand la hache du bourreau coupa la tête, sur la place, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Sauf que, au moment où la tête tomba, il en apparut une autre sur le cou, différente. Celle-ci aussi fut coupée, mais une autre poussa comme un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, toutes sorties les unes après les autres de l'insolite cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent chaque fois un peu plus fatigués et que les applaudissements réduisissent, il répétait l'opération regroupant tout son courage dans chaque coup de hache, jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à faire demi-tour au rythme du rire sadique. À ce moment-là, le bourreau vit que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête y traînait aussi, avec les autres.

Tradabordo a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand la hache du bourreau coupa la tête, sur la place [juste après « quand » ? Essaie…], tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Sauf que, au [« qu'au »] moment où la tête tomba, il en apparut une autre sur le cou, différente [après « autre » et entre virgules ? Essaie…]. Celle-ci [« là »] aussi fut coupée, mais une autre poussa [« jaillit » ?] comme [« , tel » ?] un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, toutes [nécessaire ?] sorties les unes après les autres de l'insolite [adapté ici ?] cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent chaque fois [hispanisme / mal dit… Reprends en t'appropriant davantage la phrase…] un peu plus fatigués et que les applaudissements réduisissent [+ « se » + naturel / bien dit ?], il répétait l'opération [virgule ?] regroupant tout [avec « rassembler » + essaie de faire sans « tout »] son courage dans chaque coup de hache, jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à faire demi-tour [clair ?] au rythme du rire sadique [adapte]. À ce moment-là, le bourreau vit [« s'aperçut »] que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête y traînait [mal dit ici] aussi, avec les autres.

Unknown a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand, sur la place, la hache du bourreau coupa la tête, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Sauf qu'au moment où la tête tomba, il en apparut une autre, différente, sur le cou. Celle-là aussi fut coupée, mais une autre jaillit tel un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, sorties les unes après les autres de l'étrange cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent de plus en plus fatigués à chaque fois et que les applaudissements diminuassent, il répétait l'opération, rassemblant son courage dans chaque coup de hache, jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à s'en aller au rythme du rire oxydé. À ce moment-là, le bourreau s'aperçut que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête traînait aussi, à côté des autres.

Tradabordo a dit…

Edgar Omar Avilés
(Mexique)

« Le sorcier décapité »

Quand, sur la place, la hache du bourreau coupa la tête, tout le village applaudit, soulagé, enfin libéré de la malveillance du sorcier, de son rire oxydé, de ses menaces de mort. Sauf qu'au moment où la tête tomba, il en apparut une autre, différente, sur le cou. Celle-là aussi fut coupée, mais une autre jaillit, tel un bouton. Les têtes décapitées s'empilaient, sorties les unes après les autres de l'étrange cou du sorcier. Bien que les bras du bourreau fussent de plus en plus fatigués et que les applaudissements diminuassent, il répétait l'opération, rassemblant son courage dans chaque coup de hache ; jusqu'à ce que, deux heures plus tard, tout le monde commence à s'en aller au rythme du rire oxydé. À ce moment-là, le bourreau s'aperçut que sur la place, tous les habitants du village étaient étendus, décapités, et que sa tête, elle aussi, traînait, à côté des autres.

Avec quelques modifs… OK.