Lo que me gusta además de la distracción es que el latín es un remate de síntesis, el término de la verborrea tarúpida, aunque también hay otras cosas que me gustan del latín como por ejemplo el acceso a terribles fábulas como la de Lucrecia, que me recuerda indefectiblemente a la culieski de arriba.
Traduction temporaire :
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la fin de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la fin de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
11 commentaires:
Ce que j’aime, en plus de la distraction, c’est que le latin est un conclusion de synthèse, le terme de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin, par exemple, l’accès à de terribles fables comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, en plus de la distraction [cheville : « que cela représente » ou inutile ?], c’est que le latin est un conclusion de synthèse [pense à te relire avant de publier… On perd du temps],
le terme de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin, par exemple, l’accès à de terribles fables comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, en plus de la distraction que cela représente, c’est que le latin est une conclusion de synthèse, le terme de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin, par exemple, l’accès à de terribles fables comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, en plus de [« outre » ?] la distraction que cela représente, c’est que le latin est une conclusion [FS ?] de synthèse, le terme [insuffisamment explicite] de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin, [deux points ?] par exemple, l’accès à de terribles fables comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse même, le terme exact de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse même [« par excellence » ?], le terme [ça n'est pas assez clair] exact de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables [vitgule] comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la dénomination exacte de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la formule exacte de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la fin de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
OK pour cette version.
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la fin de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
Les autres ?
Ce que j’aime, outre la distraction que cela représente, c’est que le latin est la synthèse par excellence, la fin de la verbosité inepte, bien qu’il y ait aussi d’autres choses qui me plaisent dans le latin : par exemple, l’accès à de terribles fables, comme celle de Lucrèce, qui me rappelle inéluctablement la forniqueuse du dessus.
OK
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