Cuando el sillón está cerrado, ella se ocupa de cubrirlo con pespuntes que teje en sus tiempos libres, por lo general, los fines de semana, cuando más sucumbe a la impresión de que la vida queda en otro lado, al que no la dejan entrar.
Traduction temporaire :
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
18 commentaires:
Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre ; en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [nécessaire] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre ; [je crois qu'avec le point-virgule, ça introduit un CS. Relis bien tout pour t'assurer de qui avec avec quoi] en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [qu'est-ce qui est nécessaire ?] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [qu'est-ce qui est nécessaire ? / « s'occupe de »] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle [non, on peut l'enlever] le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote pendant son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote pendant [ou « sur » ?] son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe plus [CS] à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS / C'est la valeur du "más" qui ne va pas ou je dois le changer de place dans la phrase ? ] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS / C'est la valeur du "más" qui ne va pas ou je dois le changer de place dans la phrase ? Oui, c'est « más » ; besoin d'aide ?] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand de plus en plus [CS / C'est la valeur du "más" qui ne va pas ou je dois le changer de place dans la phrase ? Oui, c'est « más » ; besoin d'aide ?] elle succombe à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
OK... Oui, je veux bien un peu d'aide ; je n'arrive pas trop à saisir le sens.
C'est le week-end où elle a le plus cette impression…
C'est le week-end où elle a le plus cette impression…
Ah oui ! D'accord... Merci.
Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle s'occupe de [on a dit que c'était pas nécessaire ; reprends à chaque fois la précédente version] le recouvrir avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général, le week-end, quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
Je te propose :
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
OK ?
Lorsque le fauteuil est plié, elle le recouvre avec des bâtis qu'elle tricote sur son temps libre, en général le week-end, c'est-à-dire quand elle succombe le plus à l'impression que la vie se trouve ailleurs : là où on ne la laisse pas aller.
OK
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