Si alguien se opone que hable ahora o que calle para siempre -prosiguió. En la última fila, agazapado y con la mirada fija de los familiares sobre su boca, el narrador levantó la mano.
Traduction temporaire :
Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, se trouvait le narrateur, à l'affût, le regard des parents fixé sur sa bouche ; il leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, se trouvait le narrateur, à l'affût, le regard des parents fixé sur sa bouche ; il leva la main.
13 commentaires:
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rangs, caché et avec le regard fixe des parents sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rangs [grammaire], caché et avec le regard fixe des parents [peu clair] sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, caché et avec le regard des parents fixé sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, caché [pas exactement cela] et avec [nécessaire ? J'hésite…] le regard des parents fixé sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, tapi, le regard des parents fixé sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, tapi [pb de syntaxe ; là, vous indiquez que c'est le premier rang qui est « tapi »], le regard des parents fixé sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, recroquevillé ( + sur lui même ?), le regard des parents fixé sur sa bouche, le narrateur leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, recroquevillé ( + sur lui même ?), le regard des parents fixé sur sa bouche, le narrateur [je pense qu'il faut le placer après « au dernier rang »] leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang se trouvait le narrateur, recroquevillé sur lui même, le regard des parents fixé sur sa bouche; il leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose [virgule] qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang se trouvait le narrateur, recroquevillé sur lui même [orthographe] [pas plutôt dans le sens de « tapi » ou même « à l'affût » ?], le regard des parents fixé sur sa bouche[espace avant les signes de ponctuation forts]; il leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang se trouvait le narrateur, à l'affût, le regard des parents fixé sur sa bouche ; il leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang se trouvait le narrateur, à l'affût, le regard des parents fixé sur sa bouche ; il leva la main.
Si quelqu'un s'y oppose, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais - poursuivit-il. Au dernier rang, se trouvait le narrateur, à l'affût, le regard des parents fixé sur sa bouche ; il leva la main.
OK.
Vous voulez enchaîner avec autre chose ?
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