lundi 2 décembre 2013

Projet Sarah – phrase 41

Un avezado periodista de crónicas rojas lo había bautizado como “la bestia del zarpazo”, porque comparó el corte en la garganta de los difuntos con la herida producida por las garras de animales salvajes.

Traduction temporaire :
Un journaliste expérimenté, spécialiste des chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", ayant comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Un journaliste expérimenté, spécialisé en chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", car il avait comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

Tradabordo a dit…

Un journaliste expérimenté, spécialisé en chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", car [« parce que » ? Ou « ayant comparé » ?] il avait comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

Unknown a dit…

Un journaliste expérimenté, spécialisé en chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", ayant comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

Tradabordo a dit…

Un journaliste expérimenté, spécialisé en [ou « spécialiste des » ? J'hésite] chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", ayant comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

Unknown a dit…

Un journaliste expérimenté, spécialiste des chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", ayant comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

Tradabordo a dit…

Un journaliste expérimenté, spécialiste des chroniques criminelles, l'avait baptisé "la bête au coup de griffe", ayant comparé la gorge tranchée des défunts à la blessure causée par les griffes des animaux sauvages.

OK.