Mauro, por su parte, aun vivía la literatura gracias al diario de Rebeca. Pero detestaba en ella esos arranques raros, incongruentes; él prefería en la vida los hechos prácticos. Por eso ahora, mirando a su esposa, hizo otro esfuerzo por comprender.
Traduction temporaire :
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
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Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il lui détestait ces accés de colère étranges, incongrus; lui, dans la vie, préférait les faits concrets. C'est pour cela qu'à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit à nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il lui [incorrect] détestait ces accés [accent !] de colère [pas ce que dit la V.O.] étranges, incongrus[espace avant les points-virgules / merci d'en tenir compte une fois pour toutes]; lui, dans la vie, [« il »] préférait les faits concrets. C'est pour cela [ou « Voilà pourquoi » ? Comme tu veux…] qu'à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit à [« de »] nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il détestait chez elle ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca [orthographe]. Mais il détestait chez elle [bof…] ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il détestait ces crises étranges, incongrues qu'elle faisait ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
[Orthographe? Je ne comprends pas. S'agit-il de l'orthographe du prénom ?]
Un seul « C » en espagnol.
Mais un "C" a été rajouté depuis le début en français. Je suis restée cohérente avec ce qui a été fait.
Ça veut dire que je ne l'ai pas vu avant… Mettre un deuxième ça, le « franciser » et donc le traduire. Est-ce que tu traduis María ?
Non je ne le traduirais pas. C'est une erreur de ma part, depuis le début.
Souhaitez-vous que je reprenne le texte depuis le début en corrigeant cette erreur et que je vous le renvoie?
Non… Tu ne notes et tu le changeras au moment de tes relectures. Mais n'oublie pas.
Et là, donc, remets-moi la phrase correcte…
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait ces crises étranges, incongrues qu'elle faisait ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait ces crises étranges, incongrues qu'elle faisait [??????? Gros pb de syntaxe ou de ponctuation… Il faut que tu travailles tes virgules] ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle piquait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle piquait [« avait », sera plus neutre] ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.
OK.
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