lundi 25 novembre 2013

Projet Hélène / Audrey – phrase 35

Parecía, tendría que preguntarlo, que el papá, cuando se iba, y se estaba yendo todo el tiempo, se llevaba algunas piezas de la casa para sus viajes, quizás para no estar solo, quizás para tener un poco de su familia, de su mujer, de sus hijos, junto a él en las maletas, o en la calle, en la otra calle por donde iba el papá del trabajo hasta la otra casa.

Traduction temporaire :
Apparemment – mais il faudrait le demander – lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui un peu des différentes chambres de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.  

23 commentaires:

Hélène a dit…

Apparemment, mais il faudrait le demander, lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants avec lui dans ses valises ou dans la rue, l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.

Tradabordo a dit…

Apparemment, mais [ajout nécessaire ?] il faudrait le demander, lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces [ou dans le sens « morceaux » ? J'hésite] de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants avec lui dans ses valises ou dans la rue, [« en » ?] l’autre rue que prenait le papa du travail [virgule ?] jusqu’à l’autre maison.

Unknown a dit…

Apparemment, il faudrait poser la question [il me semble que c'est ce qu'on a mis avant], lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait quelques pièces [on pourrait garder l'ambiguïté, valable dans les deux langues] de la maison avec lui pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.

Hélène a dit…

Apparemment, il faudrait le demander, lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants avec lui dans ses valises ou dans la rue, [« en » ?] l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

1) ok pour garder l'ambigüité en français avec "pièces"
2) Caroline, je ne comprends pas ton commentaire pour la préposition "en"
3) ok pour la virgule à la fin

Unknown a dit…

Apparemment, il faudrait [vraiment ?] poser la question [je confirme : c'est ce qu'on a mis la dernière fois], lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.

J'ai cru comprendre que tu avais oublié de traduire "en" au premier passage.

Hélène a dit…

Apparemment, il faudrait poser la question, lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

1) "vraiment" rallonge la phrase. Je ne suis pas pour.
2)Pour le reste, c'est ok.

Tradabordo a dit…

C'est ça… Je me demandais ce qu'était devenu le « en ».

Hélène : le problème, c'est que les phrases à rallonge, c'est le style de Droguett. Nous ne pouvons pas couper, mais aménager avec un gros travail de ponctuation interne. D'où la nécessité de bien jongler avec les points-virgules.

Apparemment, il faudrait poser la question [entre tirets + après réflexion, je pense en effet qu'il faut le « mais »], lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces [« objets » ?] de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

Unknown a dit…

Apparemment ‒ mais il faudrait poser la question [parfait, les tirets. Il faut en mettre aussi deux phrases plus haut alors]‒, lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques pièces de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

Hélène a dit…

Apparemment - mais il faudrait poser la question - lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques objets de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

Pour "pieza", après réflexion, je pense effectivement qu'"objets" est pas mal du tout. Dans MARIA MOLINER, "pieza" n'apparaît pas pour désigner "una habitación". Dans le DRAE, c'est le cas, mais en 8e acception.

Tradabordo a dit…

Hélène : ce sont les tirets moyens qu'il faut pour ce genre d'incise.

Apparemment - mais il faudrait poser la question - lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui quelques objets de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

OK.

Audrey (Ok, je mettrais les tirets avant) ?

Unknown a dit…

Ok, avec petit point d'interrogation pour "pieza". Je vais demander à notre autochtone chilien.

Tradabordo a dit…

OK… J'attends avant de mettre la suite.

Unknown a dit…

Fernando dit qu'au Chili, la "pieza", c'est la chambre...

Unknown a dit…

Du coup, je propose qu'on garde "pièces"

Tradabordo a dit…

Oui, mais alors essaie de le dire / l'intégrer de la manière la plus claire possible… ; un francophone de base ne doit pas avoir de doute sur ce dont il s'agit.

Hélène a dit…

Apparemment – mais il faudrait le demander – lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui un peu des différentes chambres de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants avec lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

Ce n'est qu'une proposition pour intégrer "chambre" et rendre les choses plus claires en français...

Tradabordo a dit…

Bonne idée, mais pas trop restrictif ? Sinon, plus vague : « lieux » ? Audrey ?

Hélène a dit…

J'ai regardé un peu en arrière, quelques lignes auparavant. Nous avions traduit "la pieza de la madre, de la tía, del padre" par "la chambre" parce que dans ce contexte il n'y avait aucun doute possible. Je pense que Droguett, en répétant "pieza" fait référence à ces lieux en particulier de la maison. Du coup, je ne pense pas que l'on soit trop restrictives si l'on traduit par "un peu des différentes chambres de la maison".

Tradabordo a dit…

OK… Remets-moi la bonne version de la phrase, stp.

Unknown a dit…

Apparemment – mais il faudrait le demander – lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui un peu des différentes chambres de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants avec lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.

Ok.
Juste : pourquoi la virgule après "du travail" ?

Hélène a dit…

Apparemment – mais il faudrait le demander – lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui un peu des différentes chambres de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail, jusqu’à l’autre maison.

Tradabordo a dit…

Comme vous voulez pour la virgule… Dites-moi.

Hélène a dit…

Apparemment – mais il faudrait le demander – lorsqu’il partait, ce qui arrivait tout le temps, le papa emportait avec lui un peu des différentes chambres de la maison pour ses voyages, peut-être pour ne pas être seul, peut-être pour avoir un peu de sa famille, de sa femme, de ses enfants près de lui dans ses valises ou dans la rue, dans l’autre rue que prenait le papa du travail jusqu’à l’autre maison.

Après discussion, ce sera sans virgule.