José Miguel Valverde (Espagne)
Última Oportunidad
Sentado en el sofá de casa mientras mi mujer veía en la televisión cualquier programa de aplanamiento mental, me levanté y cogí las llaves de casa. Cuando estaba con la puerta abierta, me giré:
–Cariño, voy a por tabaco.
–Pero… si tú no fumas.
Se oyó pocas décimas de segundo después de que yo jamás volviese.
Se oyó pocas décimas de segundo después de que yo jamás volviese.
Traduction temporaire :
J'étais assis dans mon canapé et ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, quand je me suis levé et ai attrapé les clefs de la maison. La porte ouverte, je me suis tourné :
— Chérie, je vais acheter des cigarettes.
Mais… tu ne fumes pas. Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne suis jamais revenu.
José Miguel Valverde
(Espagne)
« Dernière chance »
J'étais assis dans mon canapé et ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, quand je me suis levé et ai attrapé les clefs de la maison. La porte ouverte, je me suis tourné :
— Chérie, je vais acheter des cigarettes.
Mais… tu ne fumes pas. Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne suis jamais revenu.
50 commentaires:
Vous l'aurez compris, c'est la nouvelle en entier.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernier chance »
Assis sur le canapé de ma maison, pendant que ma femme regardait à la télévision n'importe quel émision de aplanissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernier chance »
Assis sur [« dans » ?] le canapé de ma maison [maldroit], pendant [« et alors »] que ma femme regardait à la télévision n'importe quel [grammaire] émision [orthographe] de aplanissement mental [sens ?], je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
Assis dans le canapé de chez moi, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission d'avachissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
Remettez tout : pays, auteur + titre, etc. à chaque fois. Il faut qu'à la fin, il n'y ait plus que le copier-coller à faire.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernier chance »
Assis dans le canapé de chez moi, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission d'avachissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernier [grammaire] chance »
Assis dans le canapé de [non, ça ne va pas… Mettez une simple virgule à la place // ou alors juste « dans mon canapé »] chez moi, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission d'avachissement [mal dit] mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
Assis dans mon canapé, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission d'affaiblissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
Assis dans mon canapé, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission d'affaiblissement [« contribuant à l'abêtissement »] mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
Assis dans mon canapé, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
Assis dans mon canapé, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'[possessif : « son » ou c'est plus général ? J'hésite… Qu'en pensez-vous ?] abêtissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
Assis dans mon canapé, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
À mon avis, c'est plus générale parce que au même temps qu'il dit que elle est envahi par la "telebasura" il fait la critique de "los programas de aplanamiento mental" puisque avec ce "cualquiera" on peut penser que c'est n'importe quelle émission d'entre tous les émission de "aplanamiento mental" qu'il y a à la télé. Parce que la plupart des emissions à la télé sont considerés comme des emissions d'abêtissement.
Il y a aussi l'idée de l'abêtissement propre de sa femme mais c'est plus dans l'implicite que l'explicite du texte.
Vous en pensez quoi?
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
Assis dans mon canapé, et alors que ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, je me suis levé et j'ai pris les clefs de la maison.
OK… Je vous propose :
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
J'étais assis dans mon canapé et ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, quand je me suis levé et ai attrapé les clefs de la maison.
OK ?
José Miguel Valverde (Espagne)
« Dernière chance »
J'étais assis dans mon canapé et ma femme regardait à la télévision n'importe quelle émission contribuant à l'abêtissement mental, quand je me suis levé et ai attrapé les clefs de la maison.
Ok pour votre proposition.
¡Feliz Año Nuevo!
ok
Oui, merci… à vous aussi. Bonne année – avec la réussite au CAPES, évidemment ! ;-)
J'ai collé le début… Maintenant, traduisez la phrase suivante. On reste sur ce post.
Quand j'étais avec la porte ouverte, je me suis tourné: -Chèrie, je vais acheter du tabac.
Quand j'étais [non, on ne peut pas traduire littéralement ; ça ne va pas…] avec la porte ouverte, je me suis tourné[espace avant les deux poins]: -[espace après les tirets de dialogue]Chèrie [accent], je vais acheter du tabac [on ne dit pas comme ça en français].
Quand la porte étais déjà ouverte, je me suis tourné : – Chérie, je vais chercher du tabac.
Quand [pas besoin] la porte étais [grammaire] déjà ouverte, je me suis tourné :
– Chérie, je vais chercher du tabac [le problème ne portait pas sur le verbe – que vous pouvez remettre – mais sur « du tabac »].
La porte était déjà ouverte, je me suis tourné : – Chérie, je vais acheter des cigarrettes.
La porte était déjà [pas besoin ; supprimez tout ça] ouverte, je me suis tourné :
– Chérie, je vais acheter des cigarrettes [orthographe].
La porte ouverte, je me suis tourné : – Chérie, je vais acheter des cigarettes.
La porte ouverte, je me suis tourné :
— Chérie, je vais acheter des cigarettes.
OK.
Faites la suite.
Mais...si tu ne fumes pas.
On a entendu quelques dixièmes de secondes après que moi je retourne jamais.
Mais...si tu ne fumes pas.
On a entendu quelques dixièmes de secondes après que moi j'y retourne jamais.
Je viens de relire ma phrase...et je crois que entre les fautes qu'il y aura une d'eux ça va être le "y". Du coup je vous mets ma propre correction.
Mais...[1) trouvez le raccourci clavier des points de suspension. 2) espace]si [construction = hispanisme] tu ne fumes pas.
On a entendu [« A-t-on entendu » / mais en fait, je crois qu'aucune des deux solutions ne va en français… Qui entend cela concrètement ? Personne, non ?] quelques dixièmes de secondes après que moi j'y retourne jamais.
Mais…tu ne fumes pas.
C'est ce qui a été entendu quelques dixièmes de secondes après que moi j'y retourne jamais.
Mais…[espace]tu ne fumes pas.
C'est ce qui a été entendu [« Voilà ce qu'on… » ?] quelques dixièmes de secondes après que moi j'y retourne jamais [la fin manque de naturel].
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu quelques dixièmes de secondes après que moi j'y retourne plus.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu [virgule] quelques dixièmes de secondes après que moi j'y retourne [le verbe est mal choisi / plus littéral] plus [pour « jamás » ? Pourquoi pas plus littéral ?].
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y revienne jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y revienne [après que + indicatif] jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y revienne [après que + indicatif] jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y reviens jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y reviens [en espagnol, ça renvoie à du présent ou du passé ?] jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y revenais jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y revenais [pas l'habitude ; ça ne s'est produit qu'une seule fois // donc ça ne peut pas être l'imparfait] jamais.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y suis jamais revenu.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que moi j'y suis jamais revenu [« après que je ne sois jamais revenu »].
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne sois jamais revenu.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne sois jamais revenu.
Hop hop… coquille : après que + indicatif. Autant pour moi. Reprenez.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je n'y suis jamais revenu.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je n'y [du coup, mieux vaut « ne » tout court] suis jamais revenu.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne suis jamais revenu.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne suis jamais revenu.
Mais… tu ne fumes pas.
Voilà ce qu'on a entendu, quelques dixièmes de secondes après que je ne suis jamais revenu.
OK.
Un autre texte ?
Oui, s'il vous plait. Je n'ai pas pu me connecter pendant quelques jours...
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