Te he visto regresar en uno de esos trenes. Te has sentado a mi lado, como entonces, para mirar la hierba que brota entre las vías. Y has dicho aquella frase, que tanto me gustaba antes sentir, para llenarme de una definitiva tristeza: “De una manera u otra, la vida siempre se abre paso”.
Traduction temporaire :
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
12 commentaires:
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as pronocé cette phrase, que j'aimais tant sentir avant, pour me couvrir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie nous ouvre toujours un chemin ».
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Là encore, on ne peut pas savoir si l'interlocuteur du narrateur est un homme ou une femme. Mais bon, si on part du principe que c'est une narratrice, il n'est peut-être pas totalement farfelu de penser que ce "tú" est un homme.
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as pronocé [coquille] cette phrase, que j'aimais tant sentir [« éprouver »] [virgule] avant, pour me couvrir [FS] d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie nous [« la vida siempre SE »] ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour me remplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour me remplir [« m'emplir »] d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
OK.
Céline ?
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver [est-ce que ça ne peut pas être simplement dans le sens de « oír » ?], avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver [est-ce que ça ne peut pas être simplement dans le sens de « oír » ? J'hésite… car il peut y avoir un jeu volontaire…], avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je pense que ce "sentir" est vraiment de l'ordre du sentiment...
Oui, moi aussi…
Céline ?
Dans ce cas, OK…
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».
OK.
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