Y ahora veía claramente que aquello no era sino el principio. Del fin. Un par de apariciones más de aquella fiera, y a la enloquecedora agudeza de la vista, del oído y del olfato seguirían las del tacto y del gusto, y adiós Eduardo Caro.
Traduction temporaire :
Et maintenant, j'avais pleinement conscience que ce n’était que le début. De la fin. Quelques apparitions supplémentaires de ce fauve, et à l’affolante acuité de ma vue, de mon ouïe et de mon odorat, s'ajouterait celle du toucher, du goût. Là, c'en serait fini d'Eduardo Caro.
Et maintenant, j'avais pleinement conscience que ce n’était que le début. De la fin. Quelques apparitions supplémentaires de ce fauve, et à l’affolante acuité de ma vue, de mon ouïe et de mon odorat, s'ajouterait celle du toucher, du goût. Là, c'en serait fini d'Eduardo Caro.
9 commentaires:
Et voilà qui me venait clairement à l’idée que ce n’était que le début. De la fin. Deux apparitions de plus de ce fauve, et à l’exaspérante acuité de ma vue, de mon ouï et de mon odorat, se suivraient celles du toucher, du gout, et adieu Eduardo Caro.
Et voilà qui me venait clairement à l’idée que [?????? Charabia + pourquoi tu changes à ce point ?] ce n’était que le début. De la fin. Deux [ou dans le sens de « quelques » ?] apparitions de plus de ce fauve, et à l’exaspérante [FS] acuité de ma vue, de mon ouï [orthographe] et de mon odorat, se suivraient [?????] celles du toucher, du gout [orthographe], et adieu Eduardo Caro.
J'avais posté un commentaire ici, mais je ne suis pas sûre qu'il soit passé...
Non, je n'ai rien… pas non plus dans les spams.
Flûte, Blogger complote !
Et maintenant, je voyais clairement que ce n’était que le début. De la fin. Quelques apparitions de plus de ce fauve, et après l’affolante acuité de ma vue, de mon ouïe et de mon odorat, viendraient s'ajouter celle du toucher, du goût, et adieu Eduardo Caro.
Et maintenant, je voyais clairement [ou « j'avais pleinement conscience » ? Comme tu veux…] que ce n’était que le début. De la fin. Quelques apparitions de plus de ce fauve, et après l’affolante acuité de ma vue, de mon ouïe et de mon odorat, viendraient s'ajouter celle du toucher, du goût, et [cheville : « là, »] adieu Eduardo Caro.
Et maintenant, j'avais pleinement conscience que ce n’était que le début. De la fin. Quelques apparitions de plus de ce fauve, et après l’affolante acuité de ma vue, de mon ouïe et de mon odorat, viendraient s'ajouter celle du toucher, du goût, et là, adieu Eduardo Caro.
Je te propose :
Et maintenant, j'avais pleinement conscience que ce n’était que le début. De la fin. Quelques apparitions supplémentaires de ce fauve, et à l’affolante acuité de ma vue, de mon ouïe et de mon odorat, s'ajouterait celle du toucher, du goût. Là, c'en serait fini d'Eduardo Caro.
OK ?
Oui !
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