mardi 5 novembre 2013

Projet Morgane – phrases 54-56

El diario no decía nada más. Mauro, con expresión de reproche miró a su mujer, pero tampoco dijo nada. Depositó el diario sobre la cama y  pidió a Rebeca que guardara el maniquí con el ajuar de novia; le dijo que la amaba sin ropas. Minutos más tarde estaban desnudos ambos, tirados sobre sus vestidos; se hacían el amor.

Traduction temporaire :
Le journal n'en disait pas davantage. Avec une expression de reproche, Mauro regarda sa femme, mais ne dit rien. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans vêtements. Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements ; ils faisaient l'amour.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Le journal ne disait rien de plus. Mauro regarda sa femme avec une expression de reproche, mais ne dit rien pour autant. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans vêtements.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements ; ils faisaient l'amour.

Tradabordo a dit…

Le journal ne disait rien de plus [« n'en disait pas davantage » ? Comme tu veux…]. Mauro regarda sa femme avec une expression de reproche [au début de la phrase ? Essaie et vois ce qui est mieux…], mais ne dit rien pour autant. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe [sûre ? Je le connaissais pour « trousseau », mais je ne sais pas… Précise-moi juste si tu as bien vérifié, etc.] de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans [on ajoute le possessif ici ? J'hésite] vêtements.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements [FS ; ne travaille pas trop vite] ; ils faisaient l'amour.

Unknown a dit…

Le journal n'en disait pas davantage. Avec une expression de reproche, Mauro regarda sa femme mais ne dit rien pour autant. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans vêtements.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements ; ils faisaient l'amour.

[Effectivement, la traduction littérale de "ajuar" est bien "trousseau" mais en recherchant dans le dictionnaire des synonymes français, j'ai restreint à robe, pour rappeler le début du récit.]
[Je ne comprends pas pour "vestidos", dans l'unilingue comme dans le bilingue, une des traductions possibles est "vêtements".]

Tradabordo a dit…

Le journal n'en disait pas davantage. Avec une expression de reproche, Mauro regarda sa femme [virgule] mais ne dit rien pour autant [nécessaire ?]. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans vêtements.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements ; ils faisaient l'amour.

Unknown a dit…

Le journal n'en disait pas davantage. Avec une expression de reproche, Mauro regarda sa femme, mais ne dit rien. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans vêtements.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements ; ils faisaient l'amour.

Tradabordo a dit…

Le journal n'en disait pas davantage. Avec une expression de reproche, Mauro regarda sa femme, mais ne dit rien. Il déposa le journal sur le lit et demanda à Rebeca de ranger le mannequin avec la robe de mariée ; il lui dit qu'il l'aimait sans vêtements.
Quelques minutes plus tard, ils étaient tous deux nus, allongés sur leurs vêtements ; ils faisaient l'amour.

OK.