Si algo tengo de sobra son los pantalones muy bien puestos para enfrentarme y encamarme con cualquiera1, cosa que los mamarrachos imitadores de Masotta y la mayoría de mis compatriotas, más acomplejados que Huitzilopochtli, no han tenido nunca.
Traduction temporaire :
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut là où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut là où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
11 commentaires:
S'il y a bien une chose dont je ne manque pas, ce sont le pantalon bien mis pour m'affronter et m'aliter à quiconque (1), chose que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzipochitli, n'en ont jamais eu.
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J'hésite à utiliser l'expression française "avoir des couilles", car bien que "tener el pantalón bien puesto" signifie "tener huevos". Je suis consciente que "avoir des couilles" est trop familier et que ce n'est pas ce que l'auteur a dit néanmoins, je ne suis pas sûre que la traduction littérale que je propose soit une bonne solution, puisque je n'ai pas réussi à trouver une expression en français un peu plus soft que "avoir des couilles" et que signifie cela.
Passe par « avoir ce qu'il faut là où il faut »
S'il y a bien une chose dont je ne manque pas, c'est que j'ai ce qu'il faut là où il faut pour m'affronter et m'aliter à quiconque (1), chose que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzipochitli, n'en ont jamais eu.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut où il faut pour affronter et tenir tête à quiconque (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzipochitli, n'ont jamais eu.
J’ai mal orthographié « Huitzilopochtli », je reprends :
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut où il faut pour affronter et tenir tête à quiconque (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut où il faut pour affronter et tenir tête à quiconque [« n'importe qui » ?] (1)
ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
OK.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1) ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut là où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1) [ponctuation] ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut là où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut là où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
OK.
Céline ?
S'il y a bien une chose dont je suis sûr, c’est que j’ai ce qu’il faut là où il faut pour affronter et tenir tête à n'importe qui (1), ce que les fantoches imitateurs de Masotta et la plupart de mes compatriotes, plus complexés que Huitzilopochtli, n'ont jamais eu.
OK.
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