Bastará con señalar que se trata de un cuaderno de notas escandalosamente misógino, cuyos momentos más coherentes son aquellos en que cita al brasileiro Rubem Fonseca –evangelista del diablo– o al sátiro local que respondió al nombre de Adolfo Bioy Casares, cuyas frases epigramáticas encabezan no pocas infamias: “Mujeres. Máquinas de transmitir tensiones. Las encendemos un rato, por placer. Si quedan encendidas nos mandan a la tumba”.
Traduction temporaire :
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
15 commentaires:
Il suffira de souligner qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleuseusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épogrammatiques titulent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira de souligner [adapté ici ?] qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleuseusement [????] misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épogrammatiques [?] titulent [????] pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira de faire remarquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira de faire [dommage d'ajouter un « faire » alors qu'on a tellement de mal à s'en débarrasser… Trouve une autre solution] remarquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local qui répond [ou « répondant » ?] au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques titrent [non ; lieux vaut utiliser un autre verbe] pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques intitulent pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques intitulent [en fait, là, j'ai un doute… est-ce vraiment dans ce sens-là qu'il faut l'entendre ?] pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca - évangéliste du diable - ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent [ou « viennent en tête » ? Je me demande ce qu'en pense Céline // elle passe son concours, là, donc on la reverra dans quelques jours] de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Ok, on attend de voir ce que Céline en pense. :)
Parfait… D'ici là, je te donnerai de quoi nourrir ton insatiable appétit de traductrice ;-)
Céline ?
Je vois aussi ça dans le sens de « rengorgent » ou « renferment ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Sonita, ton avis ?
Il suffira d'indiquer qu'il s'agit d'un cahier de notes scandaleusement misogyne, dont les passages les plus cohérents sont ceux où il cite le Brésilien Rubem Fonseca – évangéliste du diable – ou encore le satyre local répondant au nom de Adolfo Bioy Casares, dont les phrases épigrammatiques regorgent de pas mal d'infamies : « Femmes. Machines à transmettre des tensions. On les allume un instant, pour le plaisir. Si elles restent allumées, elles nous envoient dans la tombe ».
Je pense que c'est une bonne solution.
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