mercredi 30 avril 2014

Projet Morgane 13 – phrase 24-27

Nos detenemos a preguntarle y lo confirma: “Está frío”. Jorge se impacienta ante la atracción que ejerce el cadáver sobre mí, me reanima a seguir corriendo pero mi cabeza está sumergida en el misterio que pulsa la muerte. Quedo absorto, una vez más en el remanente de aquel primer muerto que me guardaba su mirada bajo un poste. Yo tenía cinco años.

Traduction temporaire :
Nous nous arrêtons pour le lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant le fascination qu'exerce le cadavre sur moi, et m'encourage à reprendre la course, mais ma tête est submergée par le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Nous nous arrêtons pour lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant l'attraction qu'exerce le cadavre sur moi, il m'encourage à repartir courir, mais ma tête est submergée dans le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

Tradabordo a dit…

Nous nous arrêtons pour lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant l'attraction [naturel ici ? J'hésite… Pas plutôt « fascination » ?] qu'exerce le cadavre sur moi, il m'encourage à repartir [avec « reprendre » ?] courir, mais ma tête est submergée dans [les deux vont ensemble ?] le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

Unknown a dit…

Nous nous arrêtons pour lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant le fascination qu'exerce le cadavre sur moi, il m'encourage à reprendre la course, mais ma tête est submergée par le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

Tradabordo a dit…

Nous nous arrêtons pour [« le » ?] lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant le fascination qu'exerce le cadavre sur moi, il [ou « et » ?] m'encourage à reprendre la course, [point ?] mais ma tête est submergée par le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

Unknown a dit…

Nous nous arrêtons pour le lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant le fascination qu'exerce le cadavre sur moi, et m'encourage à reprendre la course, mais ma tête est submergée par le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

Tradabordo a dit…

Nous nous arrêtons pour le lui demander et il confirme : « Il est froid. » Jorge s'impatiente en voyant le fascination qu'exerce le cadavre sur moi, et m'encourage à reprendre la course, mais ma tête est submergée par le mystère de cette mort. Encore une fois, je reste absorbé par le souvenir de ce premier mort qui me fixait du regard sous un poteau. J'avais alors cinq ans.

OK.