lundi 21 avril 2014

Projet Sarah 19 – phrases 17-19

Yo lo tengo en mi pensamiento, papá, todo el tiempo, a cada momento. Cada cosa que hago, me digo, ¿cómo sería si estuviera el papá conmigo? Y a veces le pregunto a mi hermano, le pregunto, ¿Cómo sería si papá estuviera con nosotros?, pero a mi hermano no le importa, porque no lo perdona a usted, y dice que todo seguiría igual, que las cosas del mundo no cambian por un padre que esté o que no esté, sino que van a cambiar cuando cambien los patrones, los patrones de la tierra, que son los que nos dañan, ellos, aunque la Lili, por nombrarle alguno, que es la hija del Viejo Álvarez, parezca tan calma y tan buena, ellos, los patrones son los que nos hacen mal, dice mi hermano, y que cuando los patrones se terminen se van terminar nuestros problemas, que son muchos y no se los voy a andar numerando, papá, para que no se me ponga triste.

Traduction temporaire :

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si, comme tant d'autres, Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît tellement calme et gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus tous ces problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

22 commentaires:

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me demande : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je questionne mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, au contraire, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique puisque le cours des choses de ce monde ne s'altère pas pour un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles se modifieront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, alors que Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me demande [vu que tu vas avoir besoin de « demander » après – plus naturel que « questionne » ici, garde dire] : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je questionne mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? »

Modifie déjà ça… en recollant l'ensemble.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, au contraire, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique puisque le cours des choses de ce monde ne s'altère pas pour un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles se modifieront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, alors que Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, au contraire [ajout nécessaire ?], il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique puisque le cours des choses de ce monde ne s'altère pas pour [j'hésite…] un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles se modifieront [ou « évolueront » ?] lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, alors [tu as « alors » au-dessus] que Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique puisque le cours des choses de ce monde ne s'altère pas pour une question de père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, tandis que Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique puisque [ou avec virgule + « ne s'altérant » ? Essaie et dis-moi] le cours des choses de ce monde ne s'altère pas pour une question de père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, tandis que Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas pour une question de père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, tandis que Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, tandis que [FS ?] Lili, la fille du vieux Álvarez, pour citer [FS ici ?] quelqu'un, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme le soutient [naturel ?] mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront eux-aussi, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, entre autres, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, entre autres [elle est la fille de vieux A entre autres ?], paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, entre autres [elle est la fille de vieux A entre autres ? Non, elle n'est pas la seule : "comme bien d'autres" ?], paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, entre autres [elle est la fille de vieux A entre autres ? Non, elle n'est pas la seule : "comme bien d'autres" ? Oui, je sais… c'était pour te montrer qu'avec une telle syntaxe et une telle ponctuation, tu suggères quelque chose d'un peu bizarre], paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît – comme comme tant d'autres – si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît – comme comme tant d'autres [comme tant d'autres gens ? C'est ça ?] – si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît – comme comme tant d'autres [comme tant d'autres gens ? C'est ça ? / oui] – si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît – comme comme tant d'autres [comme tant d'autres gens ? C'est ça ? / oui //// alors place-le avant… peut-être juste après le « même si »] – si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si – comme comme tant d'autres – Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si – comme comme tant d'autres – [pourquoi entre tirets ?] Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si, comme comme tant d'autres, Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît si calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si, comme comme [relis-toi] tant d'autres, Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît si [« tellement » pour ne pas créer de confusion avec le « si » d'avant… qui n'a pas la même valeur] calme et si gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus ces nombreux [naturel ?] problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Unknown a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si, comme tant d'autres, Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît tellement calme et gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus tous ces problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

Tradabordo a dit…

Vous m'accompagnez dans mes pensées, papa, tout le temps, à chaque instant. Dès que je fais quelque chose, je me dis : comment serait-ce si papa était avec moi ? Parfois, je demande à mon frère, je l'interroge : « Comment serait-ce si papa était avec nous ? » Mon frère, il s'en fiche, parce qu'il ne vous pardonne pas, alors il répond que tout serait identique, le cours des choses de ce monde ne s'altérant pas à cause d'un père, qu'il soit là ou pas, mais qu'elles évolueront lorsque les patrons, les propriétaires de la terre, changeront, eux, car ce sont eux qui nous font du mal, même si, comme tant d'autres, Lili, la fille du vieux Álvarez, paraît tellement calme et gentille, les patrons, eux, nous font souffrir, comme l'affirme mon frère. Lorsque c'en sera fini des patrons, nous n'aurons plus tous ces problèmes que je n'énumèrerai pas, papa, pour ne pas me rendre triste.

OK.