lundi 21 avril 2014

Projet Manon 3 – phrases 46-47

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Tras varios días de hacer fila, García Márquez no cabía de la sorpresa: ¡Absolutamente nadie lo conocía! Acostumbrado como estaba en La Tierra a ser reconocido en todas partes, a firmar autógrafos hasta que la mano se le anestesiara, y a no tener nunca que aguardar turno, el escritor, siempre con la esperanza de que alguien hubiera leído uno de sus libros o al menos hubiera oído hablar de él, había charlado con cientos de personas mientras la fila avanzaba con su paso monótono y resignado.

Traduction temporaire :
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Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne voyait qui il était ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Accoutumé comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à l'anesthésie de sa main et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens pendant que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

Aurais-tu oublié la mort de García Márquez à force d'en être hantée ? ;-)

Tradabordo a dit…

;-)

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Accoutumé [naturel ici ?] comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à l'anesthésie [peu naturel] de sa main et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens pendant [« alors » ?] que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

près plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à anesthésier sa main et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens pendant [« alors » ? / ou « tandis » ?] que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Tradabordo a dit…

N'oublie pas le 2 et la première lettre de ta phrase.

Unknown a dit…

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Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à anesthésier sa main et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens pendant [« alors » ? / ou « tandis » ?] que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Tradabordo a dit…

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Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à anesthésier sa [ou : « en avoir la main… »] main et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens pendant [« alors » ? / ou « tandis » ? OK] que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Tradabordo a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait [cheville : « toujours » ?] pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu [pas grave, mais une solution pour ce « connaître » / « reconnu » ?] partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

J'ai tenté avec « identifié », mais je ne trouve pas ça très heureux... J'attends ton avis !

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Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être identifié partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

J'ai tenté avec « identifié », mais je ne trouve pas ça très heureux... J'attends ton avis !

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait ! Habitué comme il l'était sur terre à être identifié partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Tradabordo a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne le connaissait [« voyait qui il était » ?] ! Habitué comme il l'était sur terre à être identifié [« connu »] partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne voyait qui il était ! Habitué comme il l'était sur terre à être identifié reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Tradabordo a dit…

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Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne voyait qui il était ! Habitué comme il l'était sur terre à être identifié reconnu [coquille] partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour [ou « nulle part » ? Comme tu veux], l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Unknown a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne voyait qui il était ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

Tradabordo a dit…

2

Après plusieurs jours de queue, García Márquez ne se remettait toujours pas de sa surprise : absolument personne ne voyait qui il était ! Habitué comme il l'était sur terre à être reconnu partout, à signer des autographes jusqu'à en avoir la main anesthésiée, et à ne jamais devoir attendre son tour, l'écrivain, toujours avec l'espoir que quelqu'un ait lu l'un de ses livres ou ait au moins entendu parler de lui, avait bavardé avec des centaines de gens tandis que la file avançait de son pas monotone et résigné.

OK.