mardi 15 avril 2014

Projet Nancy 3 – phrases 123-126

Palpé su rostro con los dedos, se sonrojó  como cuando el sol roza el mar. Luego, pegó su rostro sobre mi mano con fuerza y su cabeza quedó ahí apoyada sobre mi dedos unos segundos.
Tres semanas —afirmé.
  Después, envié un texto al móvil de mi compañero de cuarto, advirtiéndole que no se preocupara por mi ausencia.

Traduction temporaire :

J'ai palpé son visage avec mes doigts, elle a rougi tel le soleil effleurant la mer. Elle s'est collée contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée là quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un texto à mon colocataire pour qu'il ne s'inquiète pas de mon absence.

6 commentaires:

Nancy a dit…

J'ai palpé son visage de mes doigts, elle a rougi à l'image du soleil effleurant la mer. Elle l'a collé contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée ainsi sur mes doigts quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un message sur le portable de mon colocataire pour ne pas qu'il s’inquiète de mon absence.

Tradabordo a dit…

J'ai palpé son visage de [ou « avec » ?] mes doigts, elle a rougi à l'image [tu devrais rester près du texte… car dans un premier temps de la lecture, cela crée un effet de surprise : on croit qu'elle rougit à cause de l'image…] du soleil effleurant la mer. Elle l'a collé [« s'est collée » ?] contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée ainsi [« là, » ?] sur mes doigts [nécessaire ?] quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un message [« texto » ?] sur le portable de [ou simplement « à » ?] mon colocataire pour ne pas qu'il s’inquiète de mon absence.

Nancy a dit…

J'ai palpé son visage avec mes doigts, elle a rougi tel [on a déjà deux "comme" dans la phrase précédente] le soleil effleurant la mer. Elle s'est collée contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée, là, quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un texto à mon colocataire pour ne pas qu'il s’inquiète de mon absence.

Tradabordo a dit…

J'ai palpé son visage avec mes doigts, elle a rougi tel le soleil effleurant la mer. Elle s'est collée contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée là quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un texto à mon colocataire pour ne pas qu'il s’inquiète [ou « pour qu'il ne s'inquiète pas » ?] de mon absence.

Nancy a dit…

J'ai palpé son visage avec mes doigts, elle a rougi tel le soleil effleurant la mer. Elle s'est collée contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée là quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un texto à mon colocataire pour qu'il ne s'inquiète pas de mon absence.

Tradabordo a dit…

J'ai palpé son visage avec mes doigts, elle a rougi tel le soleil effleurant la mer. Elle s'est collée contre ma main avec force, sa tête est restée appuyée là quelques secondes.
— Trois semaines, ai-je affirmé.
Ensuite, j'ai envoyé un texto à mon colocataire pour qu'il ne s'inquiète pas de mon absence.

OK.