samedi 26 avril 2014

Projet Hélène 2 – phrases 26-28

Esa tarde pescaron poco, devolvieron dos anguilas al mar, y Luizinho, que no tardó mucho en volver de su excursión a la isla, debió admitir que había sido una mala idea utilizar una carnada devuelta por el océano. «Lo que el mar devuelve, nunca más lo acepta de regreso.» Esa tarde su rostro revelaba un pliegue nuevo, apenas perceptible bajo la textura del agua que no se apresuró en secar al subir a la lancha.

Traduction temporaire :
Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, d'autant qu'ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un appât que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais. » Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage montrait un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas d'essuyer.

6 commentaires:

Hélène a dit…

Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas beaucoup à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un vif que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais.» Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage révélait un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas de sécher.

Tradabordo a dit…

Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas beaucoup [nécessaire ?] à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un vif [?] que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais.[espace]» Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage révélait [adapté ici ?] un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas de sécher.

Hélène a dit…

Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un appât que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais. » Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage montrait un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas de sécher.

Tradabordo a dit…

Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, [de même que la première fois, ça me fait bizarre la superposition de ces deux morceaux, sans lien… un « et » ? un « d'autant que » ? Quel est ton avis ?] ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un appât que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais. » Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage montrait un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas de sécher [ou « essuyer » ? Comme tu veux].

Hélène a dit…

Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, d'autant qu'ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un appât que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais. » Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage montrait un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas d'essuyer.

Tradabordo a dit…

Cet après-midi-là, la pêche fut maigre, d'autant qu'ils remirent deux anguilles à la mer, et Luizinho, qui ne tarda pas à rentrer de son excursion sur l’île, dut admettre que c’était une mauvaise idée d’utiliser un appât que l’océan lui avait donné. « Ce que la mer donne, elle ne le reprend jamais. » Cet après-midi-là, en remontant dans le canot, son visage montrait un nouveau pli, à peine perceptible sous la texture de l’eau qu’il ne se pressa pas d'essuyer.

OK.