La libertad, Piccolina, no se puede ultrajar impunemente, rubricaba el meneo blanco de su melena, mientras descendíamos tanteando los escalones de piedra. La libertad no es lo único que el Dictador ultraja impunemente, le contesta Dalila desde este ahora y este aquí anquilosado por el enclaustramiento, rememorando aquel verano durante el cual su abuelo decidió enseñarle la costa malfitana.
Traduction temporaire :
La liberté, Piccolina, ne peut pas être impunément outragée, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions à tâtons les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose que le Dictateur outrage impunément, lui répond Dalila, depuis cet ici et ce maintenant paralysés par la claustration, se remémorant ce fameux été, où son grand-père avait décidé de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
9 commentaires:
La liberté, Piccolina, ne peut pas être froissée impunément, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions les marches de pierre en les examinant de près. La liberté n'est pas la seule chose que le Dictateur froisse impunément, lui répond Dalila, en souvenir de ce moment et de ce lieu paralysés par la claustration, se remémorant cet été-là, durant lequel son grand-père décida de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
La liberté, Piccolina, ne peut pas être froissée [plus fort en espagnol] impunément, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions les marches de pierre en les examinant de près [FS]. La liberté n'est pas la seule chose que le Dictateur froisse [idem] impunément, lui répond Dalila, en souvenir [pourquoi tu changes ?] de ce moment et de ce lieu paralysés par la claustration, se remémorant cet été-là, durant lequel son grand-père décida de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
La liberté, Piccolina, ne peut pas être outragée impunément, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions en tâtonnant les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose à laquelle le Dictateur fait outrage impunément, lui répond Dalila, depuis ce moment et de ce lieu paralysés par la claustration, se remémorant cet été-là, durant lequel son grand-père décida de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
La liberté, Piccolina, ne peut pas être outragée impunément [ou en inversant ? J'hésite], affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions en tâtonnant [ou « à tâtons » ?] les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose à laquelle le Dictateur fait [nécessaire ?] outrage impunément, lui répond Dalila, depuis ce moment et de ce lieu [pourquoi pas littéralement ?] paralysés par la claustration, se remémorant cet été-là, durant lequel son grand-père décida [temps ?] de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
La liberté, Piccolina, ne peut pas être impunément outragée, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions à tâtons les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose que Dictateur outrage impunément, lui répond Dalila, depuis cet ici et ce maintenant paralysés par la claustration, se remémorant cet été-là, durant lequel son grand-père avait décidé de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
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La liberté, Piccolina, ne peut pas être impunément outragée, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions à tâtons les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose que [« le »] Dictateur outrage impunément, lui répond Dalila, depuis cet ici et ce maintenant paralysés par la claustration, se remémorant cet [« fameux » ?] été-là, durant lequel [« où »] son grand-père avait décidé de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
La liberté, Piccolina, ne peut pas être impunément outragée, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions à tâtons les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose que le Dictateur outrage impunément, lui répond Dalila, depuis cet ici et ce maintenant paralysés par la claustration, se remémorant ce fameux été, où son grand-père avait décidé de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
La liberté, Piccolina, ne peut pas être impunément outragée, affirmait le mouvement blanc de sa longue chevelure, alors que nous descendions à tâtons les marches de pierre. La liberté n'est pas la seule chose que le Dictateur outrage impunément, lui répond Dalila, depuis cet ici et ce maintenant paralysés par la claustration, se remémorant ce fameux été, où son grand-père avait décidé de lui faire découvrir la Côte amalfitaine.
OK.
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