dimanche 6 avril 2014

Projet Nadia / Élise – phrase 161


Lo que yo temía en verdad era algo que, de tan obvio, daba vergüenza: mi iniciación en el sexo y, lo que aun me asustaba más, aquello de lo que nadie hablaba pero que ninguno de hecho olvidaba nunca: la jetta, los besos de la Zurda, ese estúpido chisme que sabía el diablo quién había inventado y que nos traía locos, incluyendo a los muchachos más grandes, de diecisiete y dieciocho años, que aparecieron al tercer día, atraídos por los rumores, y que se reían diciendo «¡Qué tonterías son esas de que las zurdas traen mala suerte!», pero que, una vez ante ella, precavidos, tampoco se atrevieron a besarla en la boca, a juzgar por las fanfarronadas y los relatos en los que describían exageradamente sus malabares en la colchoneta.

Traduction temporaire :

Ce que je craignais vraiment était évidemment honteux : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais que nul n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient : « Attends, c'est quoi ces conneries de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence. On l’avait su grâce à leurs fanfaronnades et aux récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable.

14 commentaires:

Unknown a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose, évidemment, honteuse : mon initiation au sexe. Mais j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide inventé par dieu sait qui nous rendait tous fous, y compris les plus grands de dix-sept et dix-huit ans. Ils arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et ils se moquaient en disant : « Les gauchères portent malheur, mais quelles conneries ! » Pourtant, une fois devant elle, par prudence, ils ne risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, à en juger par les fanfaronnades et les récits dans lesquels ils décrivaient avec exagération leurs acrobaties sur le matelas gonflable.

Tradabordo a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose, évidemment, [l'entre-virgules est-il nécessaire ?] honteuse : mon initiation au sexe. Mais j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais [trop de « mais »] qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère.

Unknown a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation au sexe. Cependant j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide inventé par dieu sait qui nous rendait tous fous, y compris les plus grands de dix-sept et dix-huit ans. Ils arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et ils se moquaient en disant : « Les gauchères portent malheur, mais quelles conneries ! » Pourtant, à en juger par les fanfaronnades et les récits dans lesquels ils décrivaient avec exagération leurs acrobaties sur le matelas gonflable, une fois devant elle, par prudence, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche.

Tradabordo a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation au sexe [ou avec l'adjectif ?]. Cependant [virgule] j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide [virgule ?] inventé par dieu sait qui [virgule ?] nous rendait tous fous, y compris les plus grands [virgule ?] de dix-sept et dix-huit ans. [je me demande si ça n'est pas un pb d'avoir ajouté ce point // j'ai été obligée de me référer à la V.O. pour comprendre] Ils arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et ils se moquaient en disant : « Les gauchères portent malheur, mais quelles conneries ! » Pourtant, à en juger par les fanfaronnades et les récits dans lesquels ils décrivaient avec exagération leurs acrobaties sur le matelas gonflable, une fois devant elle, par prudence, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche.

Unknown a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et se moquaient en disant : « Les gauchères portent malheur, mais quelles conneries ! » Pourtant, à en juger par les fanfaronnades et les récits dans lesquels ils décrivaient avec exagération leurs acrobaties sur le matelas gonflable, une fois devant elle, par prudence, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche.

Unknown a dit…

OK ?

Tradabordo a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient en disant : « Les gauchères portent malheur, mais quelles conneries ! [naturel ?] » Pourtant, à en juger par les fanfaronnades et les récits dans lesquels ils décrivaient avec exagération leurs acrobaties sur le matelas gonflable, une fois devant elle, par prudence, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche [l'ensemble quand de fluidité // le genre de phrase où il faut une intervention musclée ;-)].

Unknown a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient en disant : « Mais quelle connerie de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, à en juger par les fanfaronnades et les récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence.

Tradabordo a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais qu'on [ou : « que nul » ? Comme tu veux…] n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient en disant [nécessaire ?] : « Mais quelle [« c'est quoi, »] connerie de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, à en juger par les fanfaronnades et les récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence [la dernière phrase ne va tjs pas : alambiquée et peu naturelle / fluide].

Unknown a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose évidemment honteuse : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais que nul n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient : « Mais c'est quoi ces conneries de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence. On l’avait su grâce à leurs fanfaronnades et aux récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable.

Unknown a dit…

Je suis rentrée ! OK pour celle-ci ?

Tradabordo a dit…

Ce que je craignais vraiment était une chose [au fait, nécessaire ?] évidemment honteuse : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais que nul n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient : « Mais [« Attends » // ne serait-ce que pour en enlever un ; tu verras, tu en as un au-dessus… J'anticipe les relectures ;-)] c'est quoi ces conneries de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence. On l’avait su grâce à leurs fanfaronnades et aux récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable.

Unknown a dit…

Ce que je craignais vraiment était évidemment honteux : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais que nul n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient : « Attends, c'est quoi ces conneries de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence. On l’avait su grâce à leurs fanfaronnades et aux récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable.

Tradabordo a dit…

Ce que je craignais vraiment était évidemment honteux : mon initiation sexuelle. Cependant, j'avais encore plus peur de ce dont personne ne parlait, mais que nul n'oubliait jamais : la jettatura, les baisers de la Gauchère. Ce ragot stupide, inventé par dieu sait qui, nous rendait tous fous, y compris les plus grands, de dix-sept et dix-huit ans, qui arrivèrent au bout du troisième jour, attirés par les rumeurs, et qui se moquaient : « Attends, c'est quoi ces conneries de croire que les gauchères portent malheur ! » Pourtant, une fois devant elle, ils ne se risquaient pas non plus à l'embrasser sur la bouche, par prudence. On l’avait su grâce à leurs fanfaronnades et aux récits exagérés de leurs acrobaties sur le matelas gonflable.

OK.