samedi 5 avril 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 60

El texto, farragoso e ilegible, se pretendía un estudio de caso al respecto de la psique de la mujer argentina, centrándose en el caso de las porteñas, a saber, las mujeres que más despreciaron al mexicano.

Traduction temporaire :
Le texte, embrouillé et illisible, prétendait être une étude de cas au sujet de la psyché de la femme argentine, se centrant sur le cas des habitantes de Buenos Aires, c'est-à-dire, celles qui ont le plus méprisé le Mexicain.

8 commentaires:

Sonita a dit…

Le texte, embrouillé et illisible, pretendait être une étude de cas concernant la psyché de la femme Argentine, se centrant dans le cas des femmes de Buenos Aires, c'est-à-dire, les femmes qui ont le plus méprisé le mexicain.

Tradabordo a dit…

Le texte, embrouillé et illisible, pretendait [accent] être une étude de cas concernant [naturel ?] la psyché de la femme Argentine [grammaire], se centrant dans [mal dit] le cas des femmes [débrouille-toi pour ne pas répéter « femmes » ] de Buenos Aires, c'est-à-dire, les femmes [idem] qui ont le plus méprisé le mexicain [grammaire].

Sonita a dit…

Le texte, embrouillé et illisible, prétendait être une étude de cas au sujet de la psyché de la femme argentine, se centrant sur le cas des habitantes de Buenos Aires, c'est-à-dire, ces dames qui ont le plus méprisé le Mexicain.

Unknown a dit…

Le texte, embrouillé et illisible, prétendait être une étude de cas sur la psyché de la femme argentine, et plus particulièrement les habitantes de Buenos Aires, qui sont celles qui ont le plus méprisé les Mexicains.

Tradabordo a dit…

En mélangeant les deux :

Le texte, embrouillé et illisible, prétendait être une étude de cas au sujet de la psyché de la femme argentine, se centrant sur le cas des habitantes de Buenos Aires, c'est-à-dire, celles qui ont le plus méprisé le Mexicain.

OK ?

Sonita a dit…

OK !

Le texte, embrouillé et illisible, prétendait être une étude de cas au sujet de la psyché de la femme argentine, se centrant sur le cas des habitantes de Buenos Aires, c'est-à-dire, celles qui ont le plus méprisé le Mexicain.

Tradabordo a dit…

Céline ?

Unknown a dit…

Le texte, embrouillé et illisible, prétendait être une étude de cas au sujet de la psyché de la femme argentine, se centrant sur le cas des habitantes de Buenos Aires, c'est-à-dire, celles qui ont le plus méprisé le Mexicain.

OK.