La habitación adquirió presencia como pared y techo para crear la extraña sensación de ser ella - esa argamasa antigua - la que sorbe y desgasta el esfuerzo del organismo aferrado a la vida. Echó una ojeada a su alrededor: la vieja mesa del comedor con el plato del almuerzo sin tocar, donde un pedazo de carne y una lechuga lucen marchitos.
Traduction temporaire :
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
10 commentaires:
La chambre gagna de la présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux mortier – qui avait absorbé et consumé l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où contrastaient un morceau de viande et une laitue flétris.
La chambre gagna de la [ou « en » ?] présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux [cheville : « tas de » ?] mortier – qui avait absorbé [temps ?] et consumé [temps ?] l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger [virgule ? Comme tu veux] avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où contrastaient [bof… la construction ne fonctionne pas très bien] un morceau de viande et une laitue flétris.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorba et consuma l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris trônaient encore.
J'avais mis du plus-que-parfait parce que l'action de la mort de l'homme précède celle-ci. La chambre gagne en présence car elle a absorbé l'énergie du corps lors de sa mort, je trouvais ça plus clair au pqp, non ?
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorba [imparfait ?] et consuma [idem ?] l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris trônaient [carrément bizarre dans ce contexte] encore.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbait et consumait l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
Je suis pas sûre que ça aille à l'imparfait, là on dirait qu'il est encore dans la pièce en train de mourir alors qu'il est déjà mort, non ?
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'était elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbait et consumait l'effort de l'organisme accroché à la vie [alors avec « en train de » ? Il faut quand même tenir compte de ce qu'en V.O., c'est du présent]. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que ce soit elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que ce soit [non, l), tu ne peux pas contourner « c'est »] elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
La chambre gagna en présence, dans ses murs et son toit, jusqu'à créer l'étrange sensation que c'est elle – ce vieux tas de mortier – qui absorbe et consume l'effort de l'organisme accroché à la vie. Je jetai un œil alentour : l'ancienne table de la salle à manger, avec l'assiette du déjeuner encore intacte, où un morceau de viande et une laitue flétris se trouvaient encore.
OK.
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