Los naturales estaban sorprendidos. Era cierto que Tabaco lo escuchaba todo. Desde edades sin cuenta, permanecía con el oído pegado a las paredes con los humos subidos por el papel de compañero inseparable que le habían dado. También era verdad que Coca los ilusionaba, engañándoles los vahídos de las hambrunas y los golpes de la fatiga.
Traduction temporaire :
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux parois de fumées qui s’élevaient du papier, cet inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux parois de fumées qui s’élevaient du papier, cet inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
8 commentaires:
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux murs de fumées qui s’élevaient du papier, inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux murs de [sûre ? Manon ?] fumées qui s’élevaient du papier, inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
J'ai ajouté "cet" car à la première lecture, je comprenais qu'on parlait du compagnon de Café, et je ne comprenais pas.
Et j'ai changé "murs" pour "parois" qui me paraît plus approprié ici !
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux parois de fumées qui s’élevaient du papier, cet inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux parois de fumée qui s’élevaient du papier, cet [là, on pense que c'est le papier] inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
Oui, moi je comprends que c'est le papier (qui est le compagnon de Tabac), non ?
Ah OK. Justine, tu confirmes ?
Ah, je ne l'avais pas envisagé sous cet angle, pour moi, Tabac était le compagnon de Café, mais ta proposition se défend Manon.
OK pour :
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux parois de fumées qui s’élevaient du papier, cet inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
Les autochtones étaient surpris. Il était certain que Tabac écoutait tout. Depuis le fond des âges, il avait en permanence l’oreille collée aux parois de fumées qui s’élevaient du papier, cet inséparable compagnon qu’on lui avait fourni. À vrai dire, Coca aussi les charmait, trompant leurs malaises vagaux et leurs coups de fatigue.
OK.
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