Ella le confesó que le hubiera gustado ser otra cosa, terminar la secundaria, salir bachiller, ingresar a la universidad y profesionalizarse, pero que las cosas no siempre salían como uno quería, porque el destino depara sorpresas y ella estaba allí porque sus padres habían muerto en un accidente automovilístico. “No sé hacer otra cosa”, dijo dejando entrever entre las palabras cierta tristeza y resignación.
Traduction temporaire :
Quant à elle, elle lui confessa qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, décrocher son bac, aller à l’université et entrer dans le monde du travail, mais que les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin amène des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant percer une certaine tristesse et de la résignation entre ses mots.
Quant à elle, elle lui confessa qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, décrocher son bac, aller à l’université et entrer dans le monde du travail, mais que les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin amène des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant percer une certaine tristesse et de la résignation entre ses mots.
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Elle lui confessa qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, obtenir son bac, entrer à l’université et entrer dans le monde du travail, mais les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin procure des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant transparaître entre les mots une certaine tristesse et de la résignation.
[cheville : « Quant à », puisqu'avant, il était question de lui ?] Elle lui confessa [quel verbe avais-tu pour lui ?] qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, obtenir son bac, entrer à l’université et entrer [supprime la répétition, qui n'est pas en V.O.] dans le monde du travail, mais [« que » ?] les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin procure [adapté ici ?] des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant transparaître [adapté ici ? J'hésite] entre les mots une certaine tristesse et de la résignation.
Quant à elle, elle lui confessa [quel verbe avais-tu pour lui ?/ "dire" pour le premier, et avant : "déclarer"] qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, obtenir son bac, aller à l’université et entrer dans le monde du travail, mais que les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin amène des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant deviner entre les mots une certaine tristesse et de la résignation.
Quant à elle, elle lui confessa qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, obtenir [ou « décrocher » ?] son bac, aller à l’université et entrer dans le monde du travail, mais que les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin amène des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant deviner [« percer » + modifie un peu la syntaxe de la fin] entre les mots une certaine tristesse et de la résignation.
Quant à elle, elle lui confessa qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, décrocher son bac, aller à l’université et entrer dans le monde du travail, mais que les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin amène des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant percer une certaine tristesse et de la résignation entre ses mots.
Quant à elle, elle lui confessa qu’elle aurait aimé être quelqu’un d’autre, terminer le lycée, décrocher son bac, aller à l’université et entrer dans le monde du travail, mais que les choses ne se déroulaient pas toujours comme on voulait, car le destin amène des surprises et elle, si elle en était là, c'était parce que ses parents étaient morts dans un accident de la route. « Je ne sais rien faire d’autre », avoua-t-elle en laissant percer une certaine tristesse et de la résignation entre ses mots.
OK.
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