mardi 1 avril 2014

Projet Émeline 2 – phrases 20-22

A raíz de lo ocurrido, la criatura adquirió el nombre de Beatrice, que significa ‘quien da felicidad’. Los padres hicieron de todo para remediar la situación. La bañaron con cuantas flores conocían, rezaron hasta la última oración que habían aprendido, se inventaron más, compraron amuletos, le dieron medicinas, recurrieron a pócimas e incluso, yendo contra sí mismos, intentaron provocarle el llanto como la última esperanza de que con ello se resolvería el problema.

Traduction temporaire :
Compte tenu de ce qui s’était passé, le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ». Les parents tentèrent presque tout pour régler la situation. Ils lui firent prendre des bains de chaque fleur qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui administrèrent des remèdes, recoururent à des potions et, à contrecœur, ils essayèrent même de déclencher ses larmes, leur dernier espoir de résoudre le problème.

6 commentaires:

Unknown a dit…

À la suite de cela, le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ».
Les parents tentèrent un peu de tout pour résoudre la situation. Ils la baignèrent avec toutes les fleurs qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui donnèrent des remèdes, recoururent à des potions et même, à contre cœur, ils essayèrent de déclencher ses larmes, comme dernier espoir de résoudre le problème.

Tradabordo a dit…

À la suite de cela [pas davantage une conséquence en V.O. ?], le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ».
Les parents tentèrent un peu de tout [maladroit] pour résoudre [adapté à « situation » ? J'hésite] la situation. Ils la baignèrent [ou « faire prendre des bains » ?] avec toutes les fleurs qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui donnèrent [j'hésite] des remèdes, recoururent à des potions et même, à contre cœur [orthographe ?], ils essayèrent de déclencher ses larmes, comme dernier espoir de résoudre le problème [la fin manque beaucoup de fluidité].

Unknown a dit…

Compte tenu de ce qui s’était passé, le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ».
Les parents tentèrent presque tout pour régler la situation. Ils lui firent prendre des bains de toutes les fleurs qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui administrèrent des remèdes, recoururent à des potions et à contrecœur, ils essayèrent même de déclencher ses larmes, ce qui était leur dernier espoir de résoudre le problème.

Tradabordo a dit…

Compte tenu de ce qui s’était passé, le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ».
Les parents tentèrent presque tout pour régler la situation. Ils lui firent prendre des bains de toutes [aïe ; on a « tout » dans la phrase d'avant // il faut trouver une solution] les fleurs qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui administrèrent des remèdes, recoururent à des potions et [virgule] à contrecœur, ils essayèrent même de déclencher ses larmes, ce qui était [supprime] leur dernier espoir de résoudre le problème.

Unknown a dit…

Compte tenu de ce qui s’était passé, le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ».
Les parents tentèrent presque tout pour régler la situation. Ils lui firent prendre des bains de chaque fleur qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui administrèrent des remèdes, recoururent à des potions et, à contrecœur, ils essayèrent même de déclencher ses larmes, leur dernier espoir de résoudre le problème.

Tradabordo a dit…

Compte tenu de ce qui s’était passé, le bébé reçut le prénom de Béatrice, qui signifie « celle qui donne du bonheur ».
Les parents tentèrent presque tout pour régler la situation. Ils lui firent prendre des bains de chaque fleur qu’ils connaissaient, récitèrent jusqu’à la dernière prière qu’ils avaient apprise, en inventèrent d’autres, achetèrent des amulettes, lui administrèrent des remèdes, recoururent à des potions et, à contrecœur, ils essayèrent même de déclencher ses larmes, leur dernier espoir de résoudre le problème.

OK.