Se instaló bajo los guamos y de la noche a la mañana resultó silbando tonaditas cosquillosas que ponían la gente a hablar con lengua suelta, a proponer amores, a tejer ilusiones, a emprender faenas sin que se dieran cuenta; con solo sorberlo ya estaban los ánimos alebrestados llegando a las vertientes de los ríos subterráneos, para impulsar las aspas de los molinos y poner todo el torrente a fluir ideas, a dar soluciones y a moler energías.
Traduction temporaire :
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se développaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faisant tourner les pales des moulins et encourageant le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se développaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faisant tourner les pales des moulins et encourageant le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
17 commentaires:
Il s’installa sous les guamos, et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs chatouilleux, lesquels déliaient la langue aux gens, les invitaient à l’amour, à tisser des plaisirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; il leur suffisait de l’absorber pour que leur courage grandisse lorsqu’ils atteignaient les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des énergies.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs chatouilleux [clair ?], lesquels [un peu lourd] déliaient la langue aux gens [fluide ?], les invitaient à l’amour, à tisser des plaisirs [FS], à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ;
il leur suffisait de l’absorber pour que leur courage grandisse lorsqu’ils atteignaient les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des énergies.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs exaltants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; il leur suffisait de l’absorber pour que leur courage grandisse lorsqu’ils atteignaient les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des énergies.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs exaltants [bof] qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; il leur suffisait de l’absorber pour que leur courage grandisse [est-ce que tu ne changes pas trop ?] lorsqu’ils atteignaient les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des énergies.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs courages s'animaient, lorsqu’ils atteignaient les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des énergies.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs courages [ou « énergies » ici ?] s'animaient, lorsqu’ils atteignaient [ou dans le sens de : « atteignant » ?] les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des énergies.
l s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies s'animaient atteignant les versants des fleuves souterrains dans le but de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies s'animaient [le verbe n'est pas très bien adapté ici] [virgule] atteignant les versants des fleuves souterrains dans le but [ou juste un « puis » ?] de faire tourner les pales des moulins et d’encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se décuplaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faire tourner les pales des moulins et encourager le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Je ne suis pas sûre pour « puis », ça apporte pas mal de gérondif :
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se développaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faisant tourner les pales des moulins et encourageant le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se développaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faisant tourner les pales des moulins et encourageant le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Manon, ton avis ?
Sinon, Justine, n'hésite pas à proposer une solution de rechange – attention de ne pas modifier le sens.
Justine, ton avis ?
OK pour moi, ça me semble bien
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se développaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faisant tourner les pales des moulins et encourageant le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Il s’installa sous les guamos et, du soir au matin, se retrouva à siffler de petits airs grisants qui déliaient les langues, invitaient les gens à l’amour, à tisser des espoirs, à entreprendre des travaux sans qu’ils s’en rendent compte ; par une simple absorption, leurs énergies se développaient, atteignant les versants des fleuves souterrains puis faisant tourner les pales des moulins et encourageant le torrent tout entier à faire fuser des idées, à donner des solutions et à moudre des forces.
Bon, alors du coup, Manon… je te laisse bien regarder l'ensemble.
Ok pour moi, il faut juste que l'on fasse attention dans les prochaines phrases et on verra l'ensemble à la relecture, on aura une meilleure vision !
Oui, vous serez bien attentives au moment de la relecture.
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